Sur son compte twitter on peut lire" Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ..."
Cette petite phrase, nous la devons à Valérie Trierweiler qui s’est dite heureuse comme tout, de ne pas avoir à rencontrer le président russe. Mais pourquoi la journaliste de paris-Match n’aurait pas aimé serrer la paluche de l’homme le plus puissant de la galaxie ? Tout simplement parce ce que ce dernier lors de l’entretien qu’il a donné hier soir à TF1 et à Europe 1, a expliqué qu’il n’était toujours pas très intelligent de discuter avec la gent féminine et plus particulièrement avec Mme Clinton, ancienne secrétaire d’État américain qu’il avait qualifié de femme « faible »:
Il vaut mieux ne pas se disputer avec les femmes. Mais Mme Clinton n’a jamais été très élégante dans ses déclarations (…) Quand les gens dépassent les limites, ce n’est pas parce qu’ils sont trop forts, mais parce qu’ils sont trop faibles. Mais peut-être que la faiblesse n’est pas la pire des caractéristiques pour une femme.
Libre comme toutes les femmes de cette planète devraient l’être, ce n’est pas la première fois que Valérie Trierweiler exprime tout haut sa pensée. En juin 2012, au cœur des élections législatives, l’ex-compagne de François Hollande avait littéralement défrayé la chronique par le biais d’un petit tweet qui expliquait qu’elle apportait son soutien au rival de Ségolène Royale.
Comprenez-vous l’attitude de Valérie Trierweiler ?