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Amadou Bâ a par exemple évoqué "l’amélioration du pouvoir économique de 9086 femmes de Casamance et Thiénaba financées à travers les mutuelles de crédit, la réinsertion de 646 personnes dans leur village d’origine en Casamance, l’audit des capacités de 39 agences et ministères en vue du transfert d’ordonnancement, l’élaboration du budget citoyen et le dialogue avec la société civile".
Dans le secteur de la santé, "le gouvernement américain, à travers l’USAID, consacre la plus grande part du budget (47%)’’ arrêté, a-t-il dit, ajoutant que "des progrès considérables" ont été notés dans le renforcement des systèmes de santé, l’amélioration des services sanitaires, mais aussi la promotion de la communication en santé et l’amélioration de la santé communautaire.
Dans le secteur de la santé, "le gouvernement américain, à travers l’USAID, consacre la plus grande part du budget (47%)’’ arrêté, a-t-il dit, ajoutant que "des progrès considérables" ont été notés dans le renforcement des systèmes de santé, l’amélioration des services sanitaires, mais aussi la promotion de la communication en santé et l’amélioration de la santé communautaire.
Concernant le secteur de l’éducation, "le concours financier de l’USAID a permis d’atteindre des résultats satisfaisants, notamment l’amélioration des performances en lecture dans les premières années d’apprentissage avec un taux de réussite de 72,60% dans les zones d’intervention", a fait savoir le ministre des Finances.
Il reste toutefois "des défis auxquels font face le secteur de l’éducation’’, selon Amadou Bâ. Il a notamment cité l’absence d’une politique de maintenance des infrastructures scolaires.
Il y a aussi la difficulté de mobiliser le secteur privé pour le financement de l’éducation et du secteur de la santé, qui, d’après le ministre, reste confronté à la difficulté de mobilisation des ressources internes pour l’enquête démographie et de santé continue, ainsi que la pérennisation dans les nouvelles orientations de la planification familiale, entre autres points.
Il reste toutefois "des défis auxquels font face le secteur de l’éducation’’, selon Amadou Bâ. Il a notamment cité l’absence d’une politique de maintenance des infrastructures scolaires.
Il y a aussi la difficulté de mobiliser le secteur privé pour le financement de l’éducation et du secteur de la santé, qui, d’après le ministre, reste confronté à la difficulté de mobilisation des ressources internes pour l’enquête démographie et de santé continue, ainsi que la pérennisation dans les nouvelles orientations de la planification familiale, entre autres points.