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La cérémonie s’est déroulée en marge du Salon international de l’aéronautique du Bourget, en présence du ministre du Tourisme et des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck, et de son homologue française, Elisabeth Borne, rapporte un communiqué.
Ces avions de 68 à 78 places, dont la livraison est prévue en novembre prochain, sont acquis au prix catalogue sur financement d’un crédit-export auprès de la Cofage et de la SAGE, son homologue italienne, lit-on dans le texte.
L’acquisition de ces deux avions ATR marque les débuts de la nouvelle compagnie aérienne sénégalaise, qui démarrera ses opérations par étape, d’abord sur le réseau domestique et régional, puis vers l’Afrique de l’Ouest et la France, souligne la source.
Ainsi, le premier avion qui décollera le 7 décembre prochain des pistes du nouvel Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) de Dakar sera un ATR 72-600 aux couleurs du nouveau pavillon national sénégalais.
Maïmouna Ndoye Seck et son homologue française Elisabeth Borne ont, avant la signature du contrat, eu droit à une visite du cockpit et de la cabine, découvert le système de divertissement et d’information sur tablettes qui sera proposé aux passagers. L’appareil, qui offre également le wifi, a une navigation embarquée qui s’inspire de celle de l’A380.
Selon le communiqué, l’avantage pour la compagnie est que l’avion peut se poser partout, sur pistes courtes, non asphaltées, par météo défavorable, avec un faible coût d’opération.
"Ce turbo-propulseur offre 40% de consommation de moins qu’un jet de la même taille, il peut faire demi-tour sur lui-même, il n’a pas besoin d’équipements, de camionnettes pour le déchargement des bagages, il est parfaitement autonome", vante Christian Scherer, directeur général d’ATR. Il voit dans le marché africain un très gros potentiel pour 300 de ses avions d’ici à 20 ans, 10% du marché mondial.