Entre Djibo ka et Aly Ngouye Ndiaye, l’alliance pour la cause de Benno Bok Yakar risque de ne peut survivre aux prochaines élections législatives. Pour la tête de liste de cette coalition dans cette partie du Djoloff, Aly Ngouye Ndiaye a fait savoir que celle ci revient de droit à l’Apr majoritaire à Linguère.
Le ministre des mines qui cite les scores de son parti aux différentes élections depuis 2012 estime que Djibo Ka ne peut pas diriger la liste de la coalition Benno de Linguère. Pour mieux écarter Djibo Ka du fauteuil, le ministre maire de Linguère agite la part de l’Urd dans les élections citées en référence pour conclure que ce parti n’est pas à l’origine des victoires de Benno.
Donc pour Aly Ngouye, avec ou sans le parti de Djibo Ka, la coalition qui soutient Macky Sall passe à Linguère. Tout au plus reconnaît –il a cet ancien socialiste passé républicain à la faveur de l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, son parti peut être d’un apport pour Benno mais qui lui donne pas poids pour diriger la tête de liste.
Pour dire que les déclarations du maire, Aly Ngouye Ndiaye risque de faire imploser Benno à l’approche des élections législatives, Djibo Ka Ka qui ne les a pas appréciées a fait une sortie pour dire des ministre des mines « qu’il s’est trompé ». Pour apporter la réplique à Mr Ndiaye, Mr Ka déclare pour s’en désoler que « la seule fois qu’il a été tête de liste départementale à Linguère, c’était il y a 10 ans ». Si l’ancien ministre de l’intérieur a fait cette précision, c’est pour répondre à Aly Ngouye Ndiaye « qu’il Il ne peut pas savoir s’il veux ou non être tête de liste », ajoutant « qu’il ne peut non plus connaitre mes sentiments sur ce qu’il veux faire », rétorque t-il.
En direction des élections législatives, si l’opposition n’éprouvera trop de difficulté pour dresser ses listes, ce ne sera pas ainsi pour le camp au pouvoir. On se rappelle les batailles de positionnement qui avaient émaillé le choix des hauts conseillers des collectivités territoriales.
Dans certaines localités, des responsables de la majorité au pouvoir ou leurs militants en étaient venus aux mains. Avec les législatives et les débuts de querelles que les investitures vont provoquer, le syndrome des guéguerres de tendance plane.
Par Ndiogou CISSE
Le ministre des mines qui cite les scores de son parti aux différentes élections depuis 2012 estime que Djibo Ka ne peut pas diriger la liste de la coalition Benno de Linguère. Pour mieux écarter Djibo Ka du fauteuil, le ministre maire de Linguère agite la part de l’Urd dans les élections citées en référence pour conclure que ce parti n’est pas à l’origine des victoires de Benno.
Donc pour Aly Ngouye, avec ou sans le parti de Djibo Ka, la coalition qui soutient Macky Sall passe à Linguère. Tout au plus reconnaît –il a cet ancien socialiste passé républicain à la faveur de l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, son parti peut être d’un apport pour Benno mais qui lui donne pas poids pour diriger la tête de liste.
Pour dire que les déclarations du maire, Aly Ngouye Ndiaye risque de faire imploser Benno à l’approche des élections législatives, Djibo Ka Ka qui ne les a pas appréciées a fait une sortie pour dire des ministre des mines « qu’il s’est trompé ». Pour apporter la réplique à Mr Ndiaye, Mr Ka déclare pour s’en désoler que « la seule fois qu’il a été tête de liste départementale à Linguère, c’était il y a 10 ans ». Si l’ancien ministre de l’intérieur a fait cette précision, c’est pour répondre à Aly Ngouye Ndiaye « qu’il Il ne peut pas savoir s’il veux ou non être tête de liste », ajoutant « qu’il ne peut non plus connaitre mes sentiments sur ce qu’il veux faire », rétorque t-il.
En direction des élections législatives, si l’opposition n’éprouvera trop de difficulté pour dresser ses listes, ce ne sera pas ainsi pour le camp au pouvoir. On se rappelle les batailles de positionnement qui avaient émaillé le choix des hauts conseillers des collectivités territoriales.
Dans certaines localités, des responsables de la majorité au pouvoir ou leurs militants en étaient venus aux mains. Avec les législatives et les débuts de querelles que les investitures vont provoquer, le syndrome des guéguerres de tendance plane.
Par Ndiogou CISSE