En effet, entre 2006 et 2009, M. S. a soustrait à la société financière un total d’un million de francs suisses (environ 600.000.000 FCfa) sur des comptes clients qui enregistraient peu de mouvements.
Un contrôle interne a révélé la magouille, mais la transaction immobilière avait déjà été conclue au Maroc.
M. S., 42 ans, a démarré sa carrière par de gros mensonges : ses certificats d’emplois et ses études aux Etats-Unis étaient bidons. Cela ne l’a pas empêchée d’être embauchée dans le cabinet grugé et de gravir les échelons jusqu’à intégrer le comité de gestion et détourner le fameux million.
Une fois pincée, la Sénégalaise quadragénaire a passé 17 mois en détention préventive. A sa remise en liberté, elle s’est volatilisée grâce à son passeport sénégalais.
Aujourd’hui, elle vivrait à Dakar. Le ministère public a requis une peine de 36 mois de prison, dont 18 ferme. Le jugement sera rendu ultérieurement.
Aujourd’hui, le cabinet fiduciaire et son assurance veulent faire valoir leurs droits au Maroc, mais les subtilités de la procédure locale ne facilitent rien. Surtout que le mari de la femme accusée en Suisse est innocent et co-propriétaire des lieux.
SENVIDEO
Un contrôle interne a révélé la magouille, mais la transaction immobilière avait déjà été conclue au Maroc.
M. S., 42 ans, a démarré sa carrière par de gros mensonges : ses certificats d’emplois et ses études aux Etats-Unis étaient bidons. Cela ne l’a pas empêchée d’être embauchée dans le cabinet grugé et de gravir les échelons jusqu’à intégrer le comité de gestion et détourner le fameux million.
Une fois pincée, la Sénégalaise quadragénaire a passé 17 mois en détention préventive. A sa remise en liberté, elle s’est volatilisée grâce à son passeport sénégalais.
Aujourd’hui, elle vivrait à Dakar. Le ministère public a requis une peine de 36 mois de prison, dont 18 ferme. Le jugement sera rendu ultérieurement.
Aujourd’hui, le cabinet fiduciaire et son assurance veulent faire valoir leurs droits au Maroc, mais les subtilités de la procédure locale ne facilitent rien. Surtout que le mari de la femme accusée en Suisse est innocent et co-propriétaire des lieux.
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