Dans cet entretien avec le site Francefootball, il met en relief certains moments phares lorsqu’il évoluait à Marseille et à Bordeaux.
Souleymane Diawara assume ce côté fêtard, l’ancien Marseillais a plus de mal à comprendre les critiques qui vont avec. Car, pour lui, celles-ci n’arrivent qu’en cas de défaite. » Quand on gagne, mon mode de vie ne dérange personne. Mais ça devient un problème quand il y a des défaites. (…) C’est un milieu d’hypocrites, lance-t-il.
Il poursuit: » A Sochaux, quand on battait tout le monde, on fumait. Bordeaux champion, on fumait dans le car, Marseille champion, on fumait. Personne ne disait rien là». Au final, l’ancien international sénégalais ne regrette rien. Absolument rien. «Si je devais tout refaire, je referais pareil. En pire, même (rire). »
Souleymane Diawara assume ce côté fêtard, l’ancien Marseillais a plus de mal à comprendre les critiques qui vont avec. Car, pour lui, celles-ci n’arrivent qu’en cas de défaite. » Quand on gagne, mon mode de vie ne dérange personne. Mais ça devient un problème quand il y a des défaites. (…) C’est un milieu d’hypocrites, lance-t-il.
Il poursuit: » A Sochaux, quand on battait tout le monde, on fumait. Bordeaux champion, on fumait dans le car, Marseille champion, on fumait. Personne ne disait rien là». Au final, l’ancien international sénégalais ne regrette rien. Absolument rien. «Si je devais tout refaire, je referais pareil. En pire, même (rire). »