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L’installation, mercredi, du Conseil économique, social et environnemental (CESE) par le chef de l’Etat et les critiques d’Idrissa Seck contre le gouvernement après l’interdiction de la marche des libéraux constituent le menu de journaux reçus vendredi à l’APS. S’adressant aux membres du CESE, lors de l’installation de cette institution mercredi à l’hôtel King Fahd Palace, le chef de l’Etat leur a lancé : ‘’Votre devoir de veille et d’alerte est essentiel’’, souligne Le Soleil.
Selon Macky Sall, le CESE ‘’devient l’espace public au sein duquel toutes les corporations peuvent se faire entendre, afin que les spécificités de leur secteur d’activités soient pleinement prises en compte dans la définition des politiques publiques’’.
Tout en procédant à l’installation du CESE, le chef de l’Etat ‘’fixe (aux conseillers) les limites à ne pas franchir’’, souligne Sud Quotidien. Ainsi, leur a indiqué le président de la République : ‘’Lorsque s’imposera le débat d’idées, vous ne devriez pas avoir de préoccupations autres que celles de l’intérêt exclusif de la nation’’.
Et Aminata Tall, la présidente du CESE, de clarifier les choses dans Le Soleil: ‘’Notre mission n’est pas d’approuver ou de censurer le gouvernement, mais de l’aider et de l’assister’’.
De cette nouvelle institution, le chef de l’Etat attend ‘’des conseils pertinents’’, rapporte le journal Le Quotidien. ‘’Le CESE doit jouer un rôle important dans la formulation de propositions pertinentes susceptibles d’améliorer les performances des politiques publiques’’, explique le président de la République dans Le Quotidien qui toutefois estime que Idrissa Seck a été le ‘’King de la cérémonie’’ d’installation du CESE.
En effet, explique le journal, ‘’invité par Aminata Tall, M. Seck a (dénoncé) l’interdiction de la marche du PDS’’ prévue mercredi dernier en banlieue dakaroise. Pour Le Quotidien, ‘’Idrissa Seck hausse le ton face à certaines décisions du gouvernement. Invité par Aminata Tall (….) il a qualifié l’interdiction de la marche du PDS d’-inacceptable+ et de +recul démocratique+’’.
‘’Interdire au 21e siècle une marche au Sénégal, c’est totalement inacceptable !Ce n’est pas normal ! (…) Il faut laisser les libertés constitutionnelles s’exprimer. Nous devons utiliser les forces de l’ordre pour que les marches n’occasionnent pas de troubles à l’ordre public’’, soutient le leader de Rewmi.
Pour Walfadjri, ‘’Idrissa Seck récidive’’ dans les attaques contre Macky Sall. Le journal ajoute que ‘’l’ancien Premier ministre d’Abdoulaye Wade n’est pas d’accord avec la décision du préfet du département de Pikine (banlieue de Dakar) d’interdire la marche des libéraux (…).
Sur le même sujet, le quotidien L’As titre : ‘’Macky sur les traces de Wade’’, relevant ‘’tout un dispositif sécuritaire (mis en place en banlieue) pour casser du libéral’’.
Le Populaire signale ‘’un malaise’’ à l’Agence de régulation des marchés publics (ARMP) où le directeur général est ‘’accusé de mal gouvernance’’.
Selon le journal, ‘’dans une note adressée au Premier ministre et au Forum civil, des responsables de l’agence accusent leur DG de mal gouvernance, de consommer ses indemnités de précarité, d’avoir recruté un de ses amis (…) d’être à couteaux tirés avec des responsables de l’agence, etc.’’.
Et le DG de répondre : ‘’Ils disent malaise, mais c’est le malaise d’une personne. Aucune faute ne peut m’être reprochée dans ma gestion. Toute la note, c’est des attaques personnelles’’.
Selon Macky Sall, le CESE ‘’devient l’espace public au sein duquel toutes les corporations peuvent se faire entendre, afin que les spécificités de leur secteur d’activités soient pleinement prises en compte dans la définition des politiques publiques’’.
Tout en procédant à l’installation du CESE, le chef de l’Etat ‘’fixe (aux conseillers) les limites à ne pas franchir’’, souligne Sud Quotidien. Ainsi, leur a indiqué le président de la République : ‘’Lorsque s’imposera le débat d’idées, vous ne devriez pas avoir de préoccupations autres que celles de l’intérêt exclusif de la nation’’.
Et Aminata Tall, la présidente du CESE, de clarifier les choses dans Le Soleil: ‘’Notre mission n’est pas d’approuver ou de censurer le gouvernement, mais de l’aider et de l’assister’’.
De cette nouvelle institution, le chef de l’Etat attend ‘’des conseils pertinents’’, rapporte le journal Le Quotidien. ‘’Le CESE doit jouer un rôle important dans la formulation de propositions pertinentes susceptibles d’améliorer les performances des politiques publiques’’, explique le président de la République dans Le Quotidien qui toutefois estime que Idrissa Seck a été le ‘’King de la cérémonie’’ d’installation du CESE.
En effet, explique le journal, ‘’invité par Aminata Tall, M. Seck a (dénoncé) l’interdiction de la marche du PDS’’ prévue mercredi dernier en banlieue dakaroise. Pour Le Quotidien, ‘’Idrissa Seck hausse le ton face à certaines décisions du gouvernement. Invité par Aminata Tall (….) il a qualifié l’interdiction de la marche du PDS d’-inacceptable+ et de +recul démocratique+’’.
‘’Interdire au 21e siècle une marche au Sénégal, c’est totalement inacceptable !Ce n’est pas normal ! (…) Il faut laisser les libertés constitutionnelles s’exprimer. Nous devons utiliser les forces de l’ordre pour que les marches n’occasionnent pas de troubles à l’ordre public’’, soutient le leader de Rewmi.
Pour Walfadjri, ‘’Idrissa Seck récidive’’ dans les attaques contre Macky Sall. Le journal ajoute que ‘’l’ancien Premier ministre d’Abdoulaye Wade n’est pas d’accord avec la décision du préfet du département de Pikine (banlieue de Dakar) d’interdire la marche des libéraux (…).
Sur le même sujet, le quotidien L’As titre : ‘’Macky sur les traces de Wade’’, relevant ‘’tout un dispositif sécuritaire (mis en place en banlieue) pour casser du libéral’’.
Le Populaire signale ‘’un malaise’’ à l’Agence de régulation des marchés publics (ARMP) où le directeur général est ‘’accusé de mal gouvernance’’.
Selon le journal, ‘’dans une note adressée au Premier ministre et au Forum civil, des responsables de l’agence accusent leur DG de mal gouvernance, de consommer ses indemnités de précarité, d’avoir recruté un de ses amis (…) d’être à couteaux tirés avec des responsables de l’agence, etc.’’.
Et le DG de répondre : ‘’Ils disent malaise, mais c’est le malaise d’une personne. Aucune faute ne peut m’être reprochée dans ma gestion. Toute la note, c’est des attaques personnelles’’.