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es droits de timbre (-5,5 milliards) et les contreperformances enregistrées dans la mobilisation des recettes pétrolières au cordon douanier (-10 milliards)’’.
Les dépenses et prêts nets, ils sont évalués à 1526,8 milliards à fin juillet 2016, en hausse de 16,7% par rapport à la même période, un an plus tôt, indique le Point mensuel, précisant que la progression des dépenses ‘’est attribuable aussi bien à la composante investissement qu’aux dépenses courantes’’.
En effet, poursuit le document, ‘’les dépenses en capital, estimées à 608,4 milliards, sont en hausse de 16,6%, sous l’effet autant des investissements sur ressources extérieures (+66,5 milliards) que de ceux sur ressources intérieures (+19,9 milliards)’’.
Concernant les dépenses courantes, elles se sont établies à 918,4 milliards, soit un raffermissement de 131,7 milliards (+16,7%), imputable aux dépenses de fonctionnement, aux charges d’intérêts sur la dette et aux traitements et salaires qui sont respectivement estimés à 485,1 milliards (+31,6%), 106,2 milliards (+5,4%) et 327,1 milliards (+3,1%)
Les dépenses et prêts nets, ils sont évalués à 1526,8 milliards à fin juillet 2016, en hausse de 16,7% par rapport à la même période, un an plus tôt, indique le Point mensuel, précisant que la progression des dépenses ‘’est attribuable aussi bien à la composante investissement qu’aux dépenses courantes’’.
En effet, poursuit le document, ‘’les dépenses en capital, estimées à 608,4 milliards, sont en hausse de 16,6%, sous l’effet autant des investissements sur ressources extérieures (+66,5 milliards) que de ceux sur ressources intérieures (+19,9 milliards)’’.
Concernant les dépenses courantes, elles se sont établies à 918,4 milliards, soit un raffermissement de 131,7 milliards (+16,7%), imputable aux dépenses de fonctionnement, aux charges d’intérêts sur la dette et aux traitements et salaires qui sont respectivement estimés à 485,1 milliards (+31,6%), 106,2 milliards (+5,4%) et 327,1 milliards (+3,1%)