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‘’Si l’on regarde la feuille de route du doing Business, on avait 14 mesures à faire. Aujourd’hui, nous avons un taux d’exécution de 85% et nous avons deux à trois mesures dans le circuit qui doivent être réalisées dans les délais escomptés (30 avril)’’, a fait observer, Mamadou Lamine Bâ
Il s’exprimait, lundi, au cours d’un atelier d’échanges sur la feuille de route du ‘’doing business’’ 2018, à l’intention du collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES), de la presse en ligne et des blogueurs.
’’Les journalistes doivent relayer cette perception positive du pays pour que nous tous Sénégalais, nous en profitons car, miser sur un pays, c’est investir et quand on investit on est en confiance et les entreprises de grande taille s’installent dans un pays où les locaux investissent’’ a dit M. Ba.
Toujours sur le taux d’évolution des réformes, il cite le programme de réformes de l’environnement des affaires et de la compétitivité (PREAC) dont la première phase devrait couvrir la période de 2012-2015.
En 2015, après évaluation avec le secteur privé, on était à un taux d’exécution de près de 90%. Ensuite, on a revalidé le plan d’action du PREAC 2, lequel est en train d’être réalisé jusqu’en 2019, a expliqué l’expert.
Il estime que les règles du jeu mises en place, notamment la rigueur, la supervision du chef du gouvernement, les orientations du chef de l’Etat ainsi que les engagements de toutes entités, permettent chaque année, de faire passer trois à quatre lois sans compter les décrets et les arrêtés.
Les entreprises viennent en co investissement et en joint-venture pour attaquer le marché futur de la CEDEAO ’’où aujourd’hui, dans les années à venir, on pourra être un des champions car, on aura de l’électricité à (moindre) coûts, une administration de service et une connectivité qui nous mène à ce marché’’, a t-il dit.
Quand au secteur privé, il demande plus car aujourd’hui, ’’la perspective dans le pays est bonne’’ selon le directeur de l’environnement des affaires à l’APIX.
’’Toute une réflexion est en phase de finalisation pour mieux régler les clauses de partenariat de joint-venture, d’innovation qui permettra de bâtir des champions comme, on les retrouve dans les télécoms, l’assurance, le BTP, le tourisme, entre autres’’ a t-il indiqué.
De fait, a-t-il relevé, ‘’une trentaine de mesures à mettre en œuvre ont été déjà réalisées à 30%’’. Il en reste deux : l’une concerne la protection des investisseurs en vue de mieux organiser les sanctions encourues par les administrations telles que édictées par l’OHADA.
L’autre mesure est relative à tout ce qui est lié aux commerçants transfrontaliers, notamment les procédures, les frais à payer quand on importe des conteneurs de 30 à 50 pieds, a expliqué M Bâ.
‘’Nous sommes en train de réfléchir pour réduire les coûts entre 100 et 50 dollars. Aujourd’hui, le rythme d’exécution affiche un taux satisfaisant’’ a réaffirmé le directeur de l’environnement des affaires à l’APIX,
Il s’exprimait, lundi, au cours d’un atelier d’échanges sur la feuille de route du ‘’doing business’’ 2018, à l’intention du collectif des journalistes économiques du Sénégal (COJES), de la presse en ligne et des blogueurs.
’’Les journalistes doivent relayer cette perception positive du pays pour que nous tous Sénégalais, nous en profitons car, miser sur un pays, c’est investir et quand on investit on est en confiance et les entreprises de grande taille s’installent dans un pays où les locaux investissent’’ a dit M. Ba.
Toujours sur le taux d’évolution des réformes, il cite le programme de réformes de l’environnement des affaires et de la compétitivité (PREAC) dont la première phase devrait couvrir la période de 2012-2015.
En 2015, après évaluation avec le secteur privé, on était à un taux d’exécution de près de 90%. Ensuite, on a revalidé le plan d’action du PREAC 2, lequel est en train d’être réalisé jusqu’en 2019, a expliqué l’expert.
Il estime que les règles du jeu mises en place, notamment la rigueur, la supervision du chef du gouvernement, les orientations du chef de l’Etat ainsi que les engagements de toutes entités, permettent chaque année, de faire passer trois à quatre lois sans compter les décrets et les arrêtés.
Les entreprises viennent en co investissement et en joint-venture pour attaquer le marché futur de la CEDEAO ’’où aujourd’hui, dans les années à venir, on pourra être un des champions car, on aura de l’électricité à (moindre) coûts, une administration de service et une connectivité qui nous mène à ce marché’’, a t-il dit.
Quand au secteur privé, il demande plus car aujourd’hui, ’’la perspective dans le pays est bonne’’ selon le directeur de l’environnement des affaires à l’APIX.
’’Toute une réflexion est en phase de finalisation pour mieux régler les clauses de partenariat de joint-venture, d’innovation qui permettra de bâtir des champions comme, on les retrouve dans les télécoms, l’assurance, le BTP, le tourisme, entre autres’’ a t-il indiqué.
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L’autre mesure est relative à tout ce qui est lié aux commerçants transfrontaliers, notamment les procédures, les frais à payer quand on importe des conteneurs de 30 à 50 pieds, a expliqué M Bâ.
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