Presse revue: Santé, mobilité urbaine et sécurité au menu des quotidiens
Les journaux reçus lundi à l’APS évoquent, entre autres, les maux des écoles de formation privée en santé, les 10 ans du renouvellement du parc automobile et ces franco-sénégalais tombés dans le piège de l’islamisme radical.
L’As s’intéresse aux ‘’terribles maladies’’ des écoles de formation en santé et qui ont pour noms : ‘’manque de reconnaissance, faible niveau des formateurs, chômage des diplômés’’.
‘’Il suffit d’un petit tour dans quelques quartiers pour voir que les écoles de formation privées en santé poussent comme des champignons dans le pays. Beaucoup de ces écoles ne respectent pas les normes et les conditions requises pour offrir une bonne formation aux étudiants qui souhaitent faire carrière dans la santé’’, écrit le journal.
‘’Les professionnels de la santé, les syndicalistes comme les apprenants exhortent les autorités étatiques à inspecter ces établissements qui accentuent davantage les problèmes sanitaires’’, ajoute L’As.
Enquête pose ‘’l’équation de la mobilité urbaine’’ 10 ans après le renouvellement du parc automobile.
‘’Démarré en 2005, le projet de renouvellement du parc avait pour objectif d’éliminer les cars rapides et +Ndiaga Ndiaye+. A ce jour, 1607 parmi eux ont été remplacés et les 1400 restants le seront d’ici 2018. En dépit des résistances, au début, et quelques écueils dans la mise en œuvre, les minibus se sont révélés très vite rentables avec des recettes de l’ordre de 60 000 à 100 000 francs par jour’’, relève
le journal.
Toutefois, Enquête souligne que ‘’l’indiscipline et le retour de certains comportements notés avec les Car rapides et +Ndiaga Ndiaye+ sont en train d’écorner sérieusement l’image des (minibus) Tata et King Long’’.
La Tribune note que l’Etat ‘’fait dans la diversion’’ au sujet des demandes de publication des contrats gaziers et pétroliers. Et pourtant, estime le journal, ‘’(….) la transparence voudrait que (l’Etat) rende publics les contrats signés au nom des Sénégalais propriétaires de ces richesses et qui ont le droit de regard et de
savoir commente leurs biens sont géérés’’.
Libération braque ses projecteurs sur ‘’ces franco-sénégalais tombés dans le piège du Jihad’’. Le journal signale que Mamadou Diaw, intercepté à l’Aéroport de Dakar et écroué pour terrorisme ‘’n’est que la face visible de l’iceberg’’. En effet, ‘’plusieurs franco-sénégalais comme lui sont tombés dans le piège de l’islamisme radical’’.
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