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PRESSE-REVUE: Le verdict du procès de l'Imam NDAO en exergue
"Le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne, sera face aux députés cet après-midi, à 16 heure, à l’Assemblée nationale, pour répondre aux questions d’actualité", une occasion pour lui "d’évoquer des sujets comme le dossier sur le pétrole et le gaz, et d’autres sujets évoqués notamment par nos compatriotes", écrit le quotidien Le Soleil.
De son côté, si la classe politique "ne s’entend pas sur les modalités de tenue de ces échanges entre le PM et les députés, elle s’accorde néanmoins sur la nécessité de discuter des questions d’actualité", indique Enquête, relayant les "préoccupations" du personnel politique.
Selon La Tribune, le face-à-face "très attendu" entre les députés et le chef du gouvernement "risque encore une fois d’être une mise en scène destinée à divertir les populations en leur administrant un placebo à la place du remède efficace capable de venir à bouts de leurs maux", estime La Tribune.
Walfquotidien semble sur la même ligne, qui titre "Mascarade à l’Assemblée nationale". "Sous couvert de questions d’actualité", le Premier ministre va "défendre encore le frère du chef de l’Etat empêtré dans le scandale Pétro-Tim", écrit le journal.
Ce "scandale" évoqué par des opposants et responsables de la société civile, porte sur l’attribution de permis de recherche et d’exploitation d’hydrocarbures à la société Pétro-Tim.
Un autre sujet politique en exergue, concerne la question de la levée de l’immunité parlementaire du député-maire de Mermoz-Sacré-Cœur, Barthélémy Dias, dont le sort sera "scellé le 11 novembre", annonce Le Populaire.
"Comme annoncé, le bureau de l’Assemblée (nationale) a statué, hier (mercredi), sur l’affaire de la levée de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Dia", rapporte le même journal.
Il rappelle que le président de l’Assemblée nationale avait été saisi par le ministre de la Justice d’une lettre datée du 24 octobre 2016, du procureur général près la Cour d’appel, concernant la levée de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Dia", rapporte le même journal.
Il rappelle que le président de l’Assemblée nationale avait été saisi par le ministre de la Justice d’une lettre datée du 24 octobre 2016, du procureur général près la Cour d’appel, concernant la levée de l’immunité parlementaire d’un député.
Il rappelle que le président de l’Assemblée nationale avait été saisi par le ministre de la Justice d’une lettre datée du 24 octobre 2016, du procureur général près la Cour d’appel, concernant la levée de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Dia", rapporte le même journal.
Il rappelle que le président de l’Assemblée nationale avait été saisi par le ministre de la Justice d’une lettre datée du 24 octobre 2016, du procureur général près la Cour d’appel, concernant la levée de l’immunité parlementaire d’un député.
M. Dias, cité dans le meurtre de Ndiaga Diouf, tué le 22 décembre 2011, lors d’une attaque contre sa mairie de Mermoz-Sacré-Cœur, "devra patienter, le temps que l’Assemblée nationale passe par les six étapes devant aboutir à la décision finale. Qui sera prononcée le 11 septembre en plénière", relève L’Observateur.
Le Bureau de l’Assemblée nationale et la Conférence des présidents de groupes parlementaires ont, à l’issue de leur réunion tenue hier, mis en branle le processus devant conduire à la levée de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Dias", souligne de son côté Enquête.
SALE
temps pour les Khalifa boys", affiche ce journal dont la Une s’illustre d’une photo de Barthélémy Dias et Bamba Fall, l’édile de la commune d’arrondissement de La Médina, histoire de faire lien entre l’affaire visant le maire de Mermoz Sacré-Cœur et l’enquête relative au saccage de la Maison du Parti socialiste, le 5 mars dernier.
temps pour les Khalifa boys", affiche ce journal dont la Une s’illustre d’une photo de Barthélémy Dias et Bamba Fall, l’édile de la commune d’arrondissement de La Médina, histoire de faire lien entre l’affaire visant le maire de Mermoz Sacré-Cœur et l’enquête relative au saccage de la Maison du Parti socialiste, le 5 mars dernier."Pour Bamba Fall, la principale cible de ses convocations reste Khalifa Sall", le maire de Dakar, à qui on prête la volonté de se présenter à la présidentielle de 2019, ce que le pouvoir ne verrait pas d’un bon œil, selon observateurs et quotidiens.
"Si être avec Khalifa est un crime, nous resterons tous des criminels", déclare Bamba Fall, semblant mettre les points sur les i, dans des propos rapportés par Walfquotidien. L’édile sortait d’une audition à la Division des investigations criminelles (DIC), où il a passé "plus de 6 tours d’horloge", renseigne Le Populaire.
Le journal signale que Bamba Fall est sorti de cette audition "avec des déclarations incendiaires contre le secrétaire général de son parti (PS)", Ousmane Tanor Dieng qui, selon lui, voudrait que la formation socialiste n’ait plus de candidat à la prochaine présidentielle, pour plutôt consolider son soutien au chef de l’Etat, Macky Sall.
Justement, en marge d’une visite de responsables socialistes à Guédiawaye, dans la grande banlieue dakaroise, rapporte le journal Le Quotidien, M. Dieng a appelé "Khalifa Sall et ses hommes à se conformer à la décision du parti de rester dans Bennoo Bokk Yaakaar (BBY)", la coalition regroupant le pouvoir et ses alliés.
"Le régime actuel veut empêcher la candidature de Khalifa Sall à la prudentielle", insiste Bamba Fall, dans des déclarations rapportées par Le Témoin quotidien, comme s’il était appelé à commenter les propos ci-dessus du secrétaire général du PS. "C’est pour atteindre Khalifa qu’ils veulent m’évincer", ajoute M. Fall à la Une de la Tribune.
APS
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