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PRESSE-REVUE: Le verdict du procès de l'Imam NDAO en exergue
Trois jours après la sortie de Me Ousmane Sèye, avocat de l’Etat dans le dossier des chantiers de Thiès, le protocole de Rebeuss continue encore à alimenter la chronique.
Ainsi, Le Quotidien revient longuement sur l’histoire de ce supposé arrangement qui aurait permis de libérer l’ancien Premier ministre Idrissa Seck. "Passé-présent : l’origine du protocole de Rebeuss", titre le journal qui reprend son article en date du 10 novembre 2006 sur les négociations pour la libération du leader du parti d’opposition "Rewmi".
A ce propos, la Tribune publie une contribution de Mame Mbaye Niang, secrétaire général national des jeunes de l’APR, qui affirme que ce que Idrissa Seck "oublie est que dès qu’il y a un élément nouveau, un procès peut être relancé". Ce qui fait au dire au journal que "le pouvoir veut re…juger Idy".
Pour l’As, avec cette nouvelle sortie, le ministre de la Jeunesse Mame Mbaye Niang "charge à nouveau Idy".
Libération explique, pour sa part, le rôle joué par le notaire Pape Sambaré Diop dans le protocole de Rebeuss. Le journal précise que c’est à son cabinet qu’"a été déposé la procuration en date du 29 décembre 2005".
Libération souligne que c’est dans ce document que "Idrissa Seck donnait pouvoir à Me Nafissatou Diop de +signer l’engagement+ en date du même jour portant sur l’accord avec Me Ousmane Sèye, représentant du Président de la République".
Libération souligne que c’est dans ce document que "Idrissa Seck donnait pouvoir à Me Nafissatou Diop de +signer l’engagement+ en date du même jour portant sur l’accord avec Me Ousmane Sèye, représentant du Président de la République".
Le Populaire consacre lui sa principale une au communiqué publié, mardi, par l’Union des magistrats du Sénégal (UMS). Le journal indique que "pour la sauvegarde de l’indépendance de la justice", cette organisation "invite l’Exécutif à sortir du Conseil supérieur de la magistrature".
La sortie des magistrats fait aussi la une de l’As. D’après le journal, ils invitent "le pouvoir exécutif à quitter le Conseil supérieur de la magistrature (CSM)". L’As précise qu’en d’autres termes, les magistrats "ne souhaitent plus que le CSM soit présidé par le chef de l’Etat qui a pour adjoint le ministre de la Justice".
De son côté, Le Témoin écrit en une que "les magistrats refusent d’être présidés par Macky", relevant que "c’est la première fois que cette exigence est posée par l’Union des magistrats du Sénégal (UMS)".
Sur un autre plan, Le Soleil annonce une enveloppe de trois milliards pour les vacances citoyennes. Il indique par ailleurs que le secteur privé national qui a rencontré le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, mardi, "souhaite une discrimination en sa faveur".
Selon le Populaire, le privé national a profité de cette rencontre pour étaler ses griefs.
APS
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