Autres articles
-
Revue de Presse du 11 Février 2019 avec Ahmed Aidara
-
Revue de presse (Wolof) Rfm du mercredi 30 janvier 2019 par El Hadj Assane Gueye
-
Revue de presse rfm du 14 janvier 2019 avec Mamadou Mouhamed Ndiaye
-
Revue de Presse du 2 Janvier 2019 avec Ahmed Aidara
-
PRESSE-REVUE: Le verdict du procès de l'Imam NDAO en exergue
"Un léger mieux pour le Sénégal", qui passe de la 153e place à la 147e sur 190 économies concernées par le dernier Doing Business, un rapport annuel lancé en 2002 par la Banque mondiale (BM), pour mesurer la réglementation des affaires et son application effective.
Le nouveau rapport souligne au Sénégal "l’impact des réformes entreprises depuis 2015 et note une amélioration de son climat des affaires", rapporte le quotidien Enquête. Le Sénégal "sous la barre des 150 dans le classement mondial", note Le Soleil.
Selon les données de cette étude, "notre pays devance 27 pays en Afrique subsaharienne. Cette amélioration, justifie la Banque mondiale, est rendue possible notamment par une évolution de la méthodologie qui prend en compte davantage de pratiques administratives et réglementaires (…)", explique Le Soleil.
"Le Sénégal émerge ! C’est ce qu’on pourrait dire du rapport du Doing Business 2017", écrit Le Témoin, faisant état d’une légère progression. Progression tout de même, renchérit le quotidien L’Observateur.
Il reste que le Sénégal "rate son pari" de figurer "dans le top 10, ni le top 100 comme prévu par le gouvernement de Macky Sall", indique le journal Le Quotidien. Cela étant, les réformes entreprises par l’administration sénégalaise "continuent de produire des résultats", relève le journal.
"Trois années de suite, signale-t-il, le Sénégal améliore son positionnement dans le Rapport Doing Business (…) et passe sous la barre des 150. Il occupe cette année la 147e position sur 190 pays et engrange une progression de 6 places par rapport à son classement de l’année dernière (…)".
Le Populaire également pointe la progression du Sénégal, là où l’As parle de stagnation, cela "veut dire que notre pays reste presque à la même place", en dépit d’un "bon classement continental", souligne le dernier journal cité.
"Le Sénégal toujours en queue de peloton", affirme même Walfquotidien. "La facilité de faire des affaires n’est pas encore une réalité bien ancrée au Sénégal", tranche le journal, analysant les nouvelles données de la Banque mondiale.
"Le Sénégal a certes gagné des places (dans le Doing Business) en passant de la 153e à la 147e place, mais reste plus que jamais dans le groupe des derniers de la classe", écrit le journal selon lequel l’APIX, l’agence chargée de la promotion des investissements et des Grands travaux, "a encore du travail pour intégrer le top 10 du Doing Business".
Sur un tout autre sujet, Walfquotidien affirme que Moustapha Niasse "installe la cacophonie à l’Assemblée nationale", à propos de la levée de l’immunité parlementaire du député-maire de Mermoz-Sacré-Cœur, Barthélémy Dias, cité dans une affaire de meurtre.
Le président de l’Assemblée nationale "installe un épais écran de fumée autour de la levée de l’immunité de Barthélémy Dias". S’il a en effet "+certainement+ convoqué le bureau de l’institution (…), il ne donne pas l’ordre du jour et ne précise pas si la justice a demandé la levée de l’immunité du socialiste", écrit le journal.
"La conférence des présidents (de l’Assemblée nationale) se réunit ce matin", mercredi, "pour statuer sur la levée" de l’immunité parlementaire de Barthélémy Dias dont le sort se trouve entre les mains de Moustapha Niasse, précise L’Observateur.
"Les choses s’accélèrent dans l’affaire Barthélémy Dias", signale Le Populaire, se faisant également écho de la même information. "Pour lever l’immunité parlementaire du fils de Jean Paul Dias, fait observer La Tribune, la tâche revient à la même majorité qui l’avait porté dans le bureau de l’Assemblée nationale".
"Barthélémy Dias va enfin pouvoir faire face à la justice pour répondre de la mort de Ndiaga Diouf, tué le 22 décembre 2011, dans l’attaque de la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur qu’il dirige", conclut Enquête
APS
APS