« Certains choisissent de vivre en Europe, d’autres en Amérique. Tant que c’est dans le but de promouvoir la musique sénégalaise, je suis preneur. J’ai fait des prestations aussi bien pour le public canadien que pour la communauté sénégalaise basée ici. Nous sommes avant tout des ambassadeurs de la musique sénégalaise. On essaie, autant que peu, de véhiculer une image positive du Sénégal », confie l’artiste dont l’image reste collée à l’album « Xosluman », 20 ans après.
« Je me suis établi ici pour représenter la culture de mon pays. Je n’ai pas abandonné mon pays. Pour preuve, mes textes sont toujours en wolof. Je ne chante ni en français ni en anglais »