Autres articles
-
TVA : Le gouvernement sénégalais va rendre obligatoire la facturation électronique, voici comment
-
Révélations: Ilan Peretz et des anciens de l’APR se sont partagés les parcelles de la BOA Almadies (média)
-
Nécessité de changement de Cap au Sénégal : Un endettement record et ses enjeux économiques (Par Dr. Seydina Oumar Seye)
-
Urgent : Urgent : Samuel Sarr envoyé en prison pour abus de biens…Samuel Sarr envoyé en prison pour abus de biens…
-
Le prix plancher du Kg d’arachide fixé à 305 FCFA : Sonko dévalue le monde paysan
« Je confirme que le président Macky Sall est déterminer à consolider la maîtrise voire la baisse des prix, c’est un engagement électoral et il tient à le tenir. En tant que directeur de cabinet adjoint je confirme que l’Etat a les moyens de maîtriser la l'évolution des prix, en tout cas dans la période actuelle où il n’y a pas de situation de crise mondiale», a-t-il souligné.
«Si on était en 2006 là où tout s’emballer mais aujourd’hui c’est le cas plat voire la baisse sur les marchés internationaux, a-t-il expliqué lundi. Donc, nous ne pouvons pas accepter que les Sénégalais souffrent et continuent d’avoir des prix élevés. Donc le gouvernement est en train de prendre les mesures nécessaires pour que dans les prochaines semaines il puisse annoncer les nouveaux prix homologués à la baisse. La priorité, c’est d’abord les prix de l’huile, du riz, du sucre… mais le travail se fait sur d’autres produits». Une explication qui écarte la thèse de Moustapha Niass qui avait laissé entendre que le gouvernement ne pouvait rien sur les prix actuels.
Ferloo
«Si on était en 2006 là où tout s’emballer mais aujourd’hui c’est le cas plat voire la baisse sur les marchés internationaux, a-t-il expliqué lundi. Donc, nous ne pouvons pas accepter que les Sénégalais souffrent et continuent d’avoir des prix élevés. Donc le gouvernement est en train de prendre les mesures nécessaires pour que dans les prochaines semaines il puisse annoncer les nouveaux prix homologués à la baisse. La priorité, c’est d’abord les prix de l’huile, du riz, du sucre… mais le travail se fait sur d’autres produits». Une explication qui écarte la thèse de Moustapha Niass qui avait laissé entendre que le gouvernement ne pouvait rien sur les prix actuels.
Ferloo