L’ex-Premier ministre a adopté une posture de « ni oui ni non », renvoyant le sujet « au moment opportun ». Ce qui certes ne signifie pas qu'elle convoite le perchoir, mais ne veut pas, non plus, dire qu'elle n'est pas intéressée.
Même lorsqu’on lui a sorti que c’est parce qu’elle lorgnerait le fauteuil de Moustapha Niasse qu’elle a décliné l’offre du nouveau secrétaire général de l’Onu, qui voulait faire d'elle son bras droit, Mimi Touré n’a pas baissé la garde.
Elle évacue : « Ce sont des supputations. C’est le travail de la presse. C’est mon travail de répondre aux questions auxquelles j’ai envie de répondre. Laissons le cours de la vie se dérouler en temps opportun. » Et d’ajouter : « Je suis de retour au Sénégal. Je suis confortable dans mon pays. Le secrétaire général de l’Onu a choisi une personne importante pour l’épauler. Cette question est derrière nous. »
(Source : Le Quotidien)
Même lorsqu’on lui a sorti que c’est parce qu’elle lorgnerait le fauteuil de Moustapha Niasse qu’elle a décliné l’offre du nouveau secrétaire général de l’Onu, qui voulait faire d'elle son bras droit, Mimi Touré n’a pas baissé la garde.
Elle évacue : « Ce sont des supputations. C’est le travail de la presse. C’est mon travail de répondre aux questions auxquelles j’ai envie de répondre. Laissons le cours de la vie se dérouler en temps opportun. » Et d’ajouter : « Je suis de retour au Sénégal. Je suis confortable dans mon pays. Le secrétaire général de l’Onu a choisi une personne importante pour l’épauler. Cette question est derrière nous. »
(Source : Le Quotidien)