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L'affaire, en plus d’être inédite, va sans doute faire des vagues. Selon des informations, les délibérations des membres de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), siégeant dans le cadre du procès de Karim Wade et de ses co-inculpés, étaient systématiquement enregistrées par un agent du ministère de la Justice détaché auprès du tribunal hors classe de Dakar.
Même si ce dernier a tenté de nier les faits, il apparaît clairement que ces enregistrements étaient vendus à des clients dont Libération ignore encore l’identité. Quoi qu’il en soit, le mis en cause présumé a été interpellé par la Division des investigations criminelles (Dic) qui a pu saisir certains enregistrements, selon nos informations.
C’est d’ailleurs, hier, que l’agent du ministère de la Justice mis en cause a été présenté au Procureur se la République. On en saura sans doute plus sur cette affaire dans les prochains jours. Dans tous les cas, ces faits sont d’une extrême gravité pour deux raisons.
Non seulement à cause de l’identité du mis en cause présumé, mais aussi compte tenu du fait qu’il est même interdit d'allumer son ordinateur ou son téléphone portable dans les salles d’audience du tribunal de Dakar.
dakaractu
Même si ce dernier a tenté de nier les faits, il apparaît clairement que ces enregistrements étaient vendus à des clients dont Libération ignore encore l’identité. Quoi qu’il en soit, le mis en cause présumé a été interpellé par la Division des investigations criminelles (Dic) qui a pu saisir certains enregistrements, selon nos informations.
C’est d’ailleurs, hier, que l’agent du ministère de la Justice mis en cause a été présenté au Procureur se la République. On en saura sans doute plus sur cette affaire dans les prochains jours. Dans tous les cas, ces faits sont d’une extrême gravité pour deux raisons.
Non seulement à cause de l’identité du mis en cause présumé, mais aussi compte tenu du fait qu’il est même interdit d'allumer son ordinateur ou son téléphone portable dans les salles d’audience du tribunal de Dakar.
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