Les confidences d'Awa Latyfa Ndao
Mon mari est comme un frère, on a grandi ensemble. Il a été le premier homme de ma vie quand j’étais enfant. Il a attendu 18 ans pour m’épouser. S’il n’était pas là Thiaf Kheum, chapeau pour vous M. Sarr. Il dit toujours que je suis hyper fatiguée », confie Awa Ndao.
Avant d’ajouter : « Moi je ne fais qu’accoucher, c’est mon mari qui s’occupe de tout. Même quand je dors, il n’aime pas qu’on me dérange. Il est mon bras droit, il me soutient vraiment. Je dirais que j’ai le meilleur mari du monde, il n’aime pas me voir crispée, ne me soucier de n’importe quoi. Je prie le tout puissant pour qu’on s’entende à jamais. C’est lui qui s’occupe vraiment des enfants ».