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La marche du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) prévue cet après-midi à Dakar occupe largement les quotidiens parvenus ce mardi à l'APS, à côté d'autres sujets tels que le paiement de la dette intérieure, l'usine de Keur Momar Sarr, les logements sociaux et l'affaire Dangote.
''L'opposition et ses alliés testent leur force de frappe dans la rue", affiche à sa Une Le Populaire, au sujet de la marche que le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) compte organiser ce mardi, à Dakar.
"Une frange de l'opposition dirigée par le PDS va battre le macadam aujourd'hui pour vilipender Macky Sall et son régime", écrit Le Populaire, relevant toutefois que les manifestants "ne sont pas satisfaits de l'itinéraire et de l'horaire imposés par le Préfet de Dakar".
Cette marche du PDS et de ses alliés "(sera) sous haute surveillance policière", note L'As, signalant que 300 policiers, des véhicules "dragons" et la Brigade d'intervention polyvalente (BIP) seront mobilisés pour la circonstance.
Le journal livre encore d'autres détails : la sécurisation de la prison de Rebeuss et de la Place de l'Indépendance, la possibilité d'intervention des gendarmes "au cas où…" et la convocation de Oumar Sarr, coordonnateur du PDS, à la Division des investigations criminelles (DIC) où il a fait l'objet de "menace".
Evoquant cette manifestation, Walfadjri note que Idrissa Seck "refuse de marcher pour Karim (Wade)". En conséquence, souligne le journal, "Oumar Sarr, Mamadou Diop Decroix et Cie, ne devront pas compter sur Seck et ses partisans pour faire face à Macky Sall aujourd'hui".
En économie, le journal Le Quotidien s'intéresse au paiement de la dette intérieure en titrant "Macky Sall offre un +Ndeweneul (étrenne)+ de 40 milliards". Il s'agit de "34 milliards auxquels vont s'ajouter 6 autres dans quelques jours", précise le journal du groupe Avenir communication, soulignant que c'est "le montant débloqué par l'Etat du Sénégal pour payer et régulariser sa dette vis-à-vis de ses fournisseurs".
Pour Le Quotidien, "c'est un geste salutaire pour plusieurs entreprises qui est d'abord de l'initiative du chef de l'Etat (Macky Sall), et permet également le redémarrage de tous les chantiers du gouvernement qui étaient à l'arrêt".
L'Observateur révèle un rapport qui "accable la SONES et la SDE" au sujet du tuyau défectueux de l'usine des eaux de Keur Momar Sarr ayant occasionné récemment une pénurie d'eau à Dakar. Ce document interne fait état de "corrosion électrochimique et de l'absence de joints isolants qui sont à mettre sous la responsabilité de la SONES", alors que la SDE "aurait du émettre des réserves à la réception des ouvrages".
Le Soleil, citant le ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat, Khoudia Mbaye, annonce que 8000 logements sociaux sur les 10.000 prévus par le gouvernement sont déjà disponibles.
Au sujet de l'affaire Dangote, Enquête note que le Khalife de Serigne Saliou "(est) à contre-courant" de son frère Serigne Moustapha Saliou. Un conflit foncier oppose le groupe du milliardaire nigérian Aliko Dangote aux héritiers de la famille du défunt khalife général des mourides Serigne Saliou Mbacké. La poursuite des travaux de la cimenterie que la partie nigériane est en train de construire à Pout, à 50 km environ de Dakar, était jusque-là suspendue à ce conflit soumis à la justice.
Mais le préfet de Thiès a récemment notifié aux responsables de Dangote un arrêté autorisant la reprise des travaux. Ce qui a fait réagir Moustapha Saliou, fils de Serigne Saliou Mbacké.
"La famille de Serigne Saliou est combattue par un riche homme d'affaires soutenu par un Etat puissant. Je n'accuse personne, ni la justice ni Dangote, c'est l'Etat du Sénégal lui-même qui se bat contre nous", a-t-il déclaré, lors d'une conférence de presse.
Dans sa livraison de ce mardi, Enquête souligne que la position de Moustapha Serigne Saliou "est loin d’être partagée au sein de la famille de feu Serigne Saliou Mbacké".
''L'opposition et ses alliés testent leur force de frappe dans la rue", affiche à sa Une Le Populaire, au sujet de la marche que le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) compte organiser ce mardi, à Dakar.
"Une frange de l'opposition dirigée par le PDS va battre le macadam aujourd'hui pour vilipender Macky Sall et son régime", écrit Le Populaire, relevant toutefois que les manifestants "ne sont pas satisfaits de l'itinéraire et de l'horaire imposés par le Préfet de Dakar".
Cette marche du PDS et de ses alliés "(sera) sous haute surveillance policière", note L'As, signalant que 300 policiers, des véhicules "dragons" et la Brigade d'intervention polyvalente (BIP) seront mobilisés pour la circonstance.
Le journal livre encore d'autres détails : la sécurisation de la prison de Rebeuss et de la Place de l'Indépendance, la possibilité d'intervention des gendarmes "au cas où…" et la convocation de Oumar Sarr, coordonnateur du PDS, à la Division des investigations criminelles (DIC) où il a fait l'objet de "menace".
Evoquant cette manifestation, Walfadjri note que Idrissa Seck "refuse de marcher pour Karim (Wade)". En conséquence, souligne le journal, "Oumar Sarr, Mamadou Diop Decroix et Cie, ne devront pas compter sur Seck et ses partisans pour faire face à Macky Sall aujourd'hui".
En économie, le journal Le Quotidien s'intéresse au paiement de la dette intérieure en titrant "Macky Sall offre un +Ndeweneul (étrenne)+ de 40 milliards". Il s'agit de "34 milliards auxquels vont s'ajouter 6 autres dans quelques jours", précise le journal du groupe Avenir communication, soulignant que c'est "le montant débloqué par l'Etat du Sénégal pour payer et régulariser sa dette vis-à-vis de ses fournisseurs".
Pour Le Quotidien, "c'est un geste salutaire pour plusieurs entreprises qui est d'abord de l'initiative du chef de l'Etat (Macky Sall), et permet également le redémarrage de tous les chantiers du gouvernement qui étaient à l'arrêt".
L'Observateur révèle un rapport qui "accable la SONES et la SDE" au sujet du tuyau défectueux de l'usine des eaux de Keur Momar Sarr ayant occasionné récemment une pénurie d'eau à Dakar. Ce document interne fait état de "corrosion électrochimique et de l'absence de joints isolants qui sont à mettre sous la responsabilité de la SONES", alors que la SDE "aurait du émettre des réserves à la réception des ouvrages".
Le Soleil, citant le ministre de l'Urbanisme et de l'Habitat, Khoudia Mbaye, annonce que 8000 logements sociaux sur les 10.000 prévus par le gouvernement sont déjà disponibles.
Au sujet de l'affaire Dangote, Enquête note que le Khalife de Serigne Saliou "(est) à contre-courant" de son frère Serigne Moustapha Saliou. Un conflit foncier oppose le groupe du milliardaire nigérian Aliko Dangote aux héritiers de la famille du défunt khalife général des mourides Serigne Saliou Mbacké. La poursuite des travaux de la cimenterie que la partie nigériane est en train de construire à Pout, à 50 km environ de Dakar, était jusque-là suspendue à ce conflit soumis à la justice.
Mais le préfet de Thiès a récemment notifié aux responsables de Dangote un arrêté autorisant la reprise des travaux. Ce qui a fait réagir Moustapha Saliou, fils de Serigne Saliou Mbacké.
"La famille de Serigne Saliou est combattue par un riche homme d'affaires soutenu par un Etat puissant. Je n'accuse personne, ni la justice ni Dangote, c'est l'Etat du Sénégal lui-même qui se bat contre nous", a-t-il déclaré, lors d'une conférence de presse.
Dans sa livraison de ce mardi, Enquête souligne que la position de Moustapha Serigne Saliou "est loin d’être partagée au sein de la famille de feu Serigne Saliou Mbacké".