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»Si on optimise les 690,690 milliards envoyés par an par les Sénégalais de l’extérieur, on n’a pas besoin de s’appuyer directement sur l’aide au développement ou de la coopération internationale pour son développement », a dit M. Kaba, dans un entretien publié mercredi par le quotidien L’Observateur.
Cette somme est constituée seulement des envois qui passent par les circuits d’envoi formels, souligne M. Kaba qui ajoute : ‘’La BCEAO (banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest) estime les sommes qui passent par les circuits informels, à peu près au même montant que celles qui passent par les circuits formels. Ce qui fait pratiquement plus que le budget du Sénégal ».
Toutefois, l’administrateur du Fonds d’appui à l’investissement des Sénégalais de l’extérieur (FAISE) déplore que l’argent envoyé par les Sénégalais de la diaspora ne serve pas à grand-chose, à part entretenir la famille.
»Cette masse financière, a-t-il préconisé, doit être orientée vers des secteurs de croissance ».
Dans des régions du Sénégal à fort taux d’émigration comme le nord, les émigrés participent à la construction d’infrastructures sociales, scolaires et sanitaires.
apanews