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Cela traduit, selon cette structure les efforts du Gouvernement à maintenir une croissance forte est durable. « L’activité économique tirerait avantage de la poursuite de l’exécution du programme d’investissement de l’État, de la consolidation des acquis dans le sous-secteur agricole ainsi que de la bonne orientation globale de l’activité des industries, conjuguée à la relance du secteur des services », souligne la DPEE.
Concernant les prix, elle note que la persistance de la faiblesse des cours mondiaux des matières premières de base continue d’impacter le niveau de l’inflation. Sur les sept premiers mois de l’année 2016, l’inflation, mesurée par l’indice harmonisé des prix à la consommation (IHPC), est ressortie à 0,8%, comparativement à la même période en 2015. Le déflateur du PIB est projeté en hausse de 1,6% contre une estimation de 0% au titre de 2015.
S’agissant des finances publiques, la DPEE relève que la politique de rationalisation des dépenses de fonctionnement se poursuit afin d’accorder davantage de place aux investissements dans le budget. En termes de mobilisation des ressources, les efforts sont portés, notamment, sur l’élargissement de l’assiette fiscale de même que sur le renforcement du contrôle et la maîtrise des dépenses fiscales. « Au total, le déficit budgétaire devrait ressortir à 4,3% du PIB en 2016, contre 4,8% en 2015, soit une amélioration de 0,5 point de pourcentage », note encore la DPEE.
Quant aux échanges du Sénégal avec l’extérieur, cette structure souligne dans son rapport, que le déficit du compte courant en 2016 devrait s’améliorer pour s’établir à 533,2 milliards FCFA (6,1% du PIB) contre 558,7 milliards FCFA (6,9% du PIB) un an auparavant, traduisant, ainsi, l’amélioration de la balance commerciale dans un contexte de relance des industries d’exportation, de renforcement de la production locale et de faiblesse des cours des produits de base sur le marché international.
S’agissant de la situation monétaire en 2016, elle devrait se traduire par une diminution des avoirs extérieurs nets de 59,9 milliards FCFA, une augmentation du crédit intérieur de 9,2% et une expansion de la masse monétaire de 6%.
Concernant les prix, elle note que la persistance de la faiblesse des cours mondiaux des matières premières de base continue d’impacter le niveau de l’inflation. Sur les sept premiers mois de l’année 2016, l’inflation, mesurée par l’indice harmonisé des prix à la consommation (IHPC), est ressortie à 0,8%, comparativement à la même période en 2015. Le déflateur du PIB est projeté en hausse de 1,6% contre une estimation de 0% au titre de 2015.
S’agissant des finances publiques, la DPEE relève que la politique de rationalisation des dépenses de fonctionnement se poursuit afin d’accorder davantage de place aux investissements dans le budget. En termes de mobilisation des ressources, les efforts sont portés, notamment, sur l’élargissement de l’assiette fiscale de même que sur le renforcement du contrôle et la maîtrise des dépenses fiscales. « Au total, le déficit budgétaire devrait ressortir à 4,3% du PIB en 2016, contre 4,8% en 2015, soit une amélioration de 0,5 point de pourcentage », note encore la DPEE.
Quant aux échanges du Sénégal avec l’extérieur, cette structure souligne dans son rapport, que le déficit du compte courant en 2016 devrait s’améliorer pour s’établir à 533,2 milliards FCFA (6,1% du PIB) contre 558,7 milliards FCFA (6,9% du PIB) un an auparavant, traduisant, ainsi, l’amélioration de la balance commerciale dans un contexte de relance des industries d’exportation, de renforcement de la production locale et de faiblesse des cours des produits de base sur le marché international.
S’agissant de la situation monétaire en 2016, elle devrait se traduire par une diminution des avoirs extérieurs nets de 59,9 milliards FCFA, une augmentation du crédit intérieur de 9,2% et une expansion de la masse monétaire de 6%.