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Refusant de croire que nos ressources naturelles puissent se retrouver entre les mains des multinationales, l’ancienne membre de l’Alliance des forces du progrès de marteler : “il ne faut pas que le Sénégal se retrouve dans le sempiternel schéma des pays pauvres où les ressources sont pompées et transformées à l’extérieur au détriment des populations locales».
Il y a aussi le fait que, dit-elle, aussi bien les clauses liées à l’impact environnemental que les termes des contrats pétroliers doivent être déposées à l’Hémicycle aux fins d’examen par les élus du peuple avant signature».
«Avec Macky Sall, un président-ingénieur, le Sénégal ne doit pas connaître la malédiction du pétrole et faire moins qu’un président-poète, Senghor, dans la gestion des hydrocarbures». Telle est la conviction de la parlementaire, Hélène Tine.
En effet, alors que la polémique enfle autour du refus ou non de Thierno Alassane Sall (ex-ministre de l’Energie et des Energies renouvelables) de signer une convention de pétrole avec la Compagnie française, Total, la députée de Thiès, qui a joint par téléphone Actusen.com, appelle à la «transparence dans la gestion des ressources minérales du pays, gage de notre développement socio-économique».
«Si le premier président du Sénégal indépendant a pu avoir cette vision de créer la Société africaine de raffinerie (Sar), pourquoi pas lui, l’ingénieur. Aujourd’hui, Macky doit assurer que ces ressources permettront au Sénégal de créer une seconde raffinerie. Pour qu’il y ait plus de retombées à-mêmes d’offrir du travail aux jeunes Sénégalais.
Mais aussi, fournir si possible en énergie, les autres pays de la sous-région. Tout en boostant l’économie nationale au point de permettre à la Sar d’atteindre l’objectif visé de 1 million/tonnes de production», a-t-elle plaidé.
Une 2e usine de raffinage est possible au Sénégal si…
Pour elle, éviter la «malédiction» du pétrole qui fait rage dans les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), ne dépend tout simplement que de la nature et des termes des contrats signés avec les sociétés exploitantes.
«L’engagement que le Sénégal doit prendre, c’est que la 13e Législature mette en place, dès le début, une Commission d’enquête parlementaire pour revisiter tous les contrats pétroliers et savoir dans quelles conditions, ils ont été signés par le Sénégal», a-t-elle préconisé.
(Actsen)
Il y a aussi le fait que, dit-elle, aussi bien les clauses liées à l’impact environnemental que les termes des contrats pétroliers doivent être déposées à l’Hémicycle aux fins d’examen par les élus du peuple avant signature».
«Avec Macky Sall, un président-ingénieur, le Sénégal ne doit pas connaître la malédiction du pétrole et faire moins qu’un président-poète, Senghor, dans la gestion des hydrocarbures». Telle est la conviction de la parlementaire, Hélène Tine.
En effet, alors que la polémique enfle autour du refus ou non de Thierno Alassane Sall (ex-ministre de l’Energie et des Energies renouvelables) de signer une convention de pétrole avec la Compagnie française, Total, la députée de Thiès, qui a joint par téléphone Actusen.com, appelle à la «transparence dans la gestion des ressources minérales du pays, gage de notre développement socio-économique».
«Si le premier président du Sénégal indépendant a pu avoir cette vision de créer la Société africaine de raffinerie (Sar), pourquoi pas lui, l’ingénieur. Aujourd’hui, Macky doit assurer que ces ressources permettront au Sénégal de créer une seconde raffinerie. Pour qu’il y ait plus de retombées à-mêmes d’offrir du travail aux jeunes Sénégalais.
Mais aussi, fournir si possible en énergie, les autres pays de la sous-région. Tout en boostant l’économie nationale au point de permettre à la Sar d’atteindre l’objectif visé de 1 million/tonnes de production», a-t-elle plaidé.
Une 2e usine de raffinage est possible au Sénégal si…
Pour elle, éviter la «malédiction» du pétrole qui fait rage dans les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), ne dépend tout simplement que de la nature et des termes des contrats signés avec les sociétés exploitantes.
«L’engagement que le Sénégal doit prendre, c’est que la 13e Législature mette en place, dès le début, une Commission d’enquête parlementaire pour revisiter tous les contrats pétroliers et savoir dans quelles conditions, ils ont été signés par le Sénégal», a-t-elle préconisé.
(Actsen)