Une triste découverte en Guinée ! Des médecins, des journalistes et un pasteur ont été retrouvés morts dans les latrines d’un village. Comme vous le savez certainement, l’épidémie d’Ebola a commencé en Guinée en mars et a fait plus de 2600 personnes.
Le virus Ebola crée la panique, surtout en Guinée, depuis les premières heures de l’épidémie. Huit personnes ont été découvertes mortes dans les latrines de Wome, un village dans le sud-est du pays, selon nos confrères de Reuters.
Parmi les victimes, on compte des médecins, d’élus locaux, d’un pasteur et de trois journalistes locaux qui se sont déplacé pour sensibiliser sur le virus Ebola. Ils ont été agressés à coups de pierre et de couteau. Trois personnes parmi les huit victimes ont été égorgées.
Cet évènement triste s’est déroulé mardi, et six personnes ont été très vite arrêtées, a déclaré le Premier ministre guinéen Mohamed Said Fofana dans une annonce télévisée.
En Guinée comme dans les pays africains touchés, la prévention relative du virus est complexe. Dans certaines localités, les messages de prévention sont accueillis dans la panique. On se souvient qu’en août, un centre de quarantaine à Monrovia, capitale du Libéria, était attaqué, permettant la fuite d’une vingtaine de malades.
Le virus Ebola crée la panique, surtout en Guinée, depuis les premières heures de l’épidémie. Huit personnes ont été découvertes mortes dans les latrines de Wome, un village dans le sud-est du pays, selon nos confrères de Reuters.
Parmi les victimes, on compte des médecins, d’élus locaux, d’un pasteur et de trois journalistes locaux qui se sont déplacé pour sensibiliser sur le virus Ebola. Ils ont été agressés à coups de pierre et de couteau. Trois personnes parmi les huit victimes ont été égorgées.
Cet évènement triste s’est déroulé mardi, et six personnes ont été très vite arrêtées, a déclaré le Premier ministre guinéen Mohamed Said Fofana dans une annonce télévisée.
En Guinée comme dans les pays africains touchés, la prévention relative du virus est complexe. Dans certaines localités, les messages de prévention sont accueillis dans la panique. On se souvient qu’en août, un centre de quarantaine à Monrovia, capitale du Libéria, était attaqué, permettant la fuite d’une vingtaine de malades.