Ainsi, le gendarme l’interpelle en ces termes : « Je t’arrête pour délit de pathial ».Et avant que la pauvre lui réponde, l’homme de tenue lui intime l’ordre de la boucler et d’aller l’attendre aux fins d’être acheminée à la brigade de gendarmerie de la Zone franche à quelques jets de pierre.Mais, des bonnes volontés entrent dans la danse en demandant au gendarme de faire preuve de clémence. Refus catégorique du gendarme !
Finalement, pour le tempérer, une dame arrache son foulard et demande à la fille de se couvrir avec. Mais, cette dernière se braque et jure sur ce qu’elle a de plus cher que jamais elle ne mettrait sur son corps de foulard.Avant de balancer à la figure du gendarme : « Tu n’es pas mon père, encore moins ma mère. Après avoir effectué ma toilette, je les ai rencontrés en sortant de chez moi et mes parents n’ont rien trouvé à me dire.
Donc, ce n’est pas à toi que je dois rendre des comptes ».Suffisant pour que le gendarme s’emmure dans son refus de libérer la fille, coupable de ce que certains qualifient d’attentat à la pudeur. D’autant que, selon le pandore, c’est cette façon indécente de s’habiller qui est à l’origine de plusieurs cas de viol sur fond de provocation.Qui a raison ? Qui a tort ? Les juristes vont certainement nous éclairer !