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‘’Le président de la République a été très clair sur cette question, la baisse sur la facture de consommation sera effective à la fin de ce premier bimestre », a déclaré le DG de la SENELEC, en marge de l’université républicaine organisée, samedi, par la COJER de Dagana. Selon Mouhamadou Mactar Cissé, il ne peut pas y avoir de spéculations. Cette décision sera respectée pour le plus grand bonheur des Sénégalais.
« Au plus tard, en fin mars, les Sénégalais, qui recevront leurs factures, sentiront cette baisse », a-t-il renseigné devant une foule de militants acquis à sa cause. Parrain de cette université républicaine, il a fait une intervention sur la problématique énergétique du Sénégal. Ce faisant, il a partagé avec les jeunes de l’APR la vision et la politique énergétique du chef de l’Etat, les avancées depuis le changement de régime et les chantiers à mener pour que le Sénégal puisse atteindre l’électrification universelle à l’horizon 2025.
Ainsi, Mactar Cissé a rappelé que le Sénégal est parti d’un taux d’électrification générale de 54% en 2012 pour atteindre 60% en 2016. « Sur cette lancée, nous comptons atteindre l’objectif de 100%, avant 2030 », a-t-il ajouté. Cet objectif, à ses yeux, est raisonnable, compte tenu des investissements massifs réalisés dans le secteur. « Le défi de la production a été largement relevé, ce qui nous permet aujourd’hui d’exporter de l’électricité vers le Mali », s’est-il réjoui. Même s’il reste à résoudre le problème du transport pour que les populations qui n’ont pas accès, puissent en bénéficier. A ce propos, renseigne-t-il, des ouvrages seront mis en place. « Ils nous permettront de résoudre le problème de la distribution et surtout des coupures et des pannes », a assuré l’ancien Directeur général de la Douane qui ajoute que ce sont des problèmes inhérents à tous les systèmes électriques du monde.
En effet, souligne-t-il, la seule performance des compagnies, c’est de pouvoir faire revenir l’électricité dans des délais raisonnables, en cas de panne. Aussi, promet-il : « nous allons tout faire pour réduire le nombre et la durée ». A ce propos, il a rappelé qu’en 2012, les Sénégalais restaient, dans l’année, un mois et une semaine sans électricité, correspondant à 911 heures et, aujourd’hui, ils sont à 73 heures, c'est-à-dire trois jours. « C’est une performance remarquable qu’il faut amplifier, pour qu’on soit à quelques heures, d’ici deux à trois ans », a-t-il dit.
A propos du choix du thème : ‘’Le PSE moteur du développement’’, le Dg a fait remarquer que Dagana est le grenier rizicole et hydrique du Sénégal. Ce département, dit-il, joue un rôle fondamental dans le PSE et surtout dans l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, programme cher au Chef de l’Etat. A signaler que la rencontre a enregistré la présence du ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, du député-maire de Richard-Toll, Dr Amadou Mame Diop et du ministre délégué Anta Diacko Sarr.
Enquête
« Au plus tard, en fin mars, les Sénégalais, qui recevront leurs factures, sentiront cette baisse », a-t-il renseigné devant une foule de militants acquis à sa cause. Parrain de cette université républicaine, il a fait une intervention sur la problématique énergétique du Sénégal. Ce faisant, il a partagé avec les jeunes de l’APR la vision et la politique énergétique du chef de l’Etat, les avancées depuis le changement de régime et les chantiers à mener pour que le Sénégal puisse atteindre l’électrification universelle à l’horizon 2025.
Ainsi, Mactar Cissé a rappelé que le Sénégal est parti d’un taux d’électrification générale de 54% en 2012 pour atteindre 60% en 2016. « Sur cette lancée, nous comptons atteindre l’objectif de 100%, avant 2030 », a-t-il ajouté. Cet objectif, à ses yeux, est raisonnable, compte tenu des investissements massifs réalisés dans le secteur. « Le défi de la production a été largement relevé, ce qui nous permet aujourd’hui d’exporter de l’électricité vers le Mali », s’est-il réjoui. Même s’il reste à résoudre le problème du transport pour que les populations qui n’ont pas accès, puissent en bénéficier. A ce propos, renseigne-t-il, des ouvrages seront mis en place. « Ils nous permettront de résoudre le problème de la distribution et surtout des coupures et des pannes », a assuré l’ancien Directeur général de la Douane qui ajoute que ce sont des problèmes inhérents à tous les systèmes électriques du monde.
En effet, souligne-t-il, la seule performance des compagnies, c’est de pouvoir faire revenir l’électricité dans des délais raisonnables, en cas de panne. Aussi, promet-il : « nous allons tout faire pour réduire le nombre et la durée ». A ce propos, il a rappelé qu’en 2012, les Sénégalais restaient, dans l’année, un mois et une semaine sans électricité, correspondant à 911 heures et, aujourd’hui, ils sont à 73 heures, c'est-à-dire trois jours. « C’est une performance remarquable qu’il faut amplifier, pour qu’on soit à quelques heures, d’ici deux à trois ans », a-t-il dit.
A propos du choix du thème : ‘’Le PSE moteur du développement’’, le Dg a fait remarquer que Dagana est le grenier rizicole et hydrique du Sénégal. Ce département, dit-il, joue un rôle fondamental dans le PSE et surtout dans l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, programme cher au Chef de l’Etat. A signaler que la rencontre a enregistré la présence du ministre des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, du député-maire de Richard-Toll, Dr Amadou Mame Diop et du ministre délégué Anta Diacko Sarr.
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