Le sénégalais a mis l’accent sur l’apport de l’Afrique et en particulier de l’Afrique noire à la culture et à la civilisation mondiale. Ses thèses restent aujourd’hui discutées, et sont peu reprises dans la communauté scientifique, en particulier au sujet de l’Égypte antique.
Cheikh Anta Diop a, cependant, été un précurseur pour ce qui concerne l’importance et l’ancienneté de la place des Africains dans l’histoire, confirmée par les études actuelles. Sa vision peut aussi être interprétée comme une anticipation de découvertes archéologiques majeures des années 2000 sur le continent africain, que ce soit Kerma ou, beaucoup plus ancien, Blombos.
Il a rassemblé les résultats de ses travaux dans le dernier ouvrage qu’il a publié avant son décès, intitulé « Civilisation ou barbarie, anthropologie sans complaisance », où il expose sa théorie historiographique, tout en tentant de répondre aux principales critiques que son œuvre a suscitées chez les historiens et « égyptologues de mauvaise foi »
Cheikh Anta Diop a, cependant, été un précurseur pour ce qui concerne l’importance et l’ancienneté de la place des Africains dans l’histoire, confirmée par les études actuelles. Sa vision peut aussi être interprétée comme une anticipation de découvertes archéologiques majeures des années 2000 sur le continent africain, que ce soit Kerma ou, beaucoup plus ancien, Blombos.
Il a rassemblé les résultats de ses travaux dans le dernier ouvrage qu’il a publié avant son décès, intitulé « Civilisation ou barbarie, anthropologie sans complaisance », où il expose sa théorie historiographique, tout en tentant de répondre aux principales critiques que son œuvre a suscitées chez les historiens et « égyptologues de mauvaise foi »