La guérison spectaculaire des deux médecins américains infectés par le virus de la fièvre Ebola suscite les commentaires les plus fous et réveillent les théories du complot qui accompagnent tous les phénomènes sociologiques des temps modernes. Et la question qui revient sur toutes lèvres reste celle-ci: les puissances occidentales ont-elles créé le virus? Pour diminuer la population mondiale? Pour arrêter la démographie galopante de l’Afrique?
En effet, après l’étonnante rémission, cette semaine, du médecin américain Kent Brantly qui a reçu un traitement expérimental pour lutter contre Ebola après avoir contracté la maladie au Liberia, des questionnements, somme toute légitimes, taraudent les esprits, particulièrement ceux des Africains. Car, l’Organisation mondiale de la santé, constatant la mort de près d’un millier de personnes, avait indiqué que l’épidémie de fièvre Ebola est hors de contrôle et que toute l’Afrique de l’Ouest est menacée avec 4 pays infectés.
Le médecin belge Peter Piot qui a découvert le virus en 1976 au Zaïre est sorti de son mutisme pour parler de l’utilisation du « fameux sérum » en Afrique. Toutes choses qui font croire que le virus a bel et bien été crée par ces malthusianistes dans un but génocidaire.
En effet, après l’étonnante rémission, cette semaine, du médecin américain Kent Brantly qui a reçu un traitement expérimental pour lutter contre Ebola après avoir contracté la maladie au Liberia, des questionnements, somme toute légitimes, taraudent les esprits, particulièrement ceux des Africains. Car, l’Organisation mondiale de la santé, constatant la mort de près d’un millier de personnes, avait indiqué que l’épidémie de fièvre Ebola est hors de contrôle et que toute l’Afrique de l’Ouest est menacée avec 4 pays infectés.
Le médecin belge Peter Piot qui a découvert le virus en 1976 au Zaïre est sorti de son mutisme pour parler de l’utilisation du « fameux sérum » en Afrique. Toutes choses qui font croire que le virus a bel et bien été crée par ces malthusianistes dans un but génocidaire.
