Comme nous l'avons écrit, l'arrestation de l'animatrice de la SEN TV, Aida Patra a fait les choux gras de la presse. Grand Place évoque un "séisme" dans le milieu du showbiz, avec l’arrestation de l’animatrice de télévision Aïda Patra. "Alpaguée une première fois dans une maison close (…)" dakaroise, en même temps que d’autres filles, elle avait bénéficié d’une libération "quelques minutes après", renseigne ce journal.
"Moins d’une semaine après cette première arrestation, Patra a été une nouvelle fois interpellée par des éléments de la police, dans la zone de Ouakam. Les faits se sont passés dans la soirée de mardi", rapporte Waa Grand Place.
L’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) "a surpris l’animatrice et une de ses copines en train de fumer des joints" de yamba, dans un fumoir des Mamelles dont le propriétaire a pris la fuite, précise Libération.
Aïda Patra "ne se doutait pas que les policiers de la Sûreté urbaine qui l’avaient arrêtée et libérée continuaient à la filer. Et avaient passé le mot aux limiers de l’OCRTIS qui prirent le relais. Leur filature a été payante", écrit L’Observateur.
Si l’on en croit le quotidien Enquête, Aïda Patra, de son vrai nom Astou Kane, "sera présentée au procureur ce matin’, jeudi