Selon les sources du journal Libération, le leader de Rewmi avait contracté à la banque une dette de 400 millions de FCfa pour lancer un projet d’une université en collaboration avec les Américains de Princetown. Mais jusqu’à présent ce projet n’a jamais vu le jour et même les travaux prévus sur un terrain de 100 hectares à Bandia n’ont jamais démarré.
A présent, Idrissa Seck peine à rembourser cette somme dans son intégralité alors que les échéances ont été largement dépassées. C’est pourquoi, la banque menace aujourd’hui de saisir ce dernier après lui avoir envoyé plusieurs sommations. En plus, Idrissa Seck avait hypothéqué sa villa sise au Point E, pour lever des fonds.
A en croire Libération, cette affaire attise des tensions au sein du Top management de la Cbao, puisse qu’un des membres freine le service contentieux à chaque fois que la décision est prise de porter le dossier devant les tribunaux.
A présent, Idrissa Seck peine à rembourser cette somme dans son intégralité alors que les échéances ont été largement dépassées. C’est pourquoi, la banque menace aujourd’hui de saisir ce dernier après lui avoir envoyé plusieurs sommations. En plus, Idrissa Seck avait hypothéqué sa villa sise au Point E, pour lever des fonds.
A en croire Libération, cette affaire attise des tensions au sein du Top management de la Cbao, puisse qu’un des membres freine le service contentieux à chaque fois que la décision est prise de porter le dossier devant les tribunaux.