Le professeur d’économie à l’Ucad, Abdoulaye Seck, directeur de l’institution d’études économiques et sociales a situé le problème à trois niveaux : les nouvelles technologies, l’absence de sanction et d’une prise de conscience collective. « Le premier élément explicatif c’est la facilité avec laquelle des individus pourraient se lancer dans la fabrication et la distribution de faux billets. Parce que vous pouvez collaborer avec des individus malintentionnés à l’extérieur. Mais également les moyens technologiques qui permettent d’imiter à la limite parfaitement les signes monétaires que nous avons chez nous », a-t-il déclaré sur les ondes de la Rfm.
Avant de poursuivre : « là nous parlons d’un crime. Et lorsqu’un crime prolifère c’est parce que les mécanismes légaux de sanction ne sont pas suffisamment dissuasifs pour amener les faussaires potentiels à y réfléchir à deux fois avant de se lancer. Le dernier élément c’est l’absence de prise de conscience collective des populations qui sont usagers de ces signes monétaires quant aux conséquences économiques de la circulation des faux signes monétaires ».
Avant de poursuivre : « là nous parlons d’un crime. Et lorsqu’un crime prolifère c’est parce que les mécanismes légaux de sanction ne sont pas suffisamment dissuasifs pour amener les faussaires potentiels à y réfléchir à deux fois avant de se lancer. Le dernier élément c’est l’absence de prise de conscience collective des populations qui sont usagers de ces signes monétaires quant aux conséquences économiques de la circulation des faux signes monétaires ».