La soirée organisée ce samedi au Grand Théâtre par le jeune chanteur Waly Seck pour célébrer son anniversaire fait l’objet de toutes sortes de commentaires. Marquée par une série de couacs aussi bizarres les uns que les autres, la soirée a failli être gâchée. A l’entame du concert, la poulie qui devait permettre au jeune artiste d’effectuer une entrée spectaculaire a cédé. Heureusement, il y a eu plus de peur que de mal. Seulement une planche qui sous-tendait le support de la poulie s’est détachée pour atterrir sur le public. Les cris d’inquiétude accompagnèrent la manœuvre jusqu’à ce que l’artiste foule la scène du Grand Théâtre.
Après cette manœuvre à haut risque, Waly Seck a encore eu des sueurs froides une fois sur scène. Le mécanisme qui était prévu sur la scène pour surélever de manière fabuleuse la vedette des lieux, a refusé de fonctionner. Ce qui l’a exposé à un autre risque de chute dangereuse, parce qu’il y avait ainsi un grand trou béant entre le chanteur et son public venu nombreux. D’ailleurs, c’est Waly Seck lui-même, qui a ouvert les supputations au sujet du « mystique ». S’adressant à son épouse, Sokhna Aïdara au micro, il a dit : « c’est aujourd’hui que je vais voir si ton grand père est un saint homme. Parce qu’il n’est pas question que je tombe avec ce trou béant devant moi. Demain je vais jouer au Penc-Mi.» C’est ainsi que l’équipe technique de Moustapha Diop a déployé une planche en bois sur l’espace vide pour éviter le pire. Et quand Waly a voulu monter sur la planche pour se rapprocher davantage de son public, les fans’s se sont mis à crier : « Woroul… Woroul… Woroul…»
Suffisant pour que des voix s’élèvent dans le public pour dire : « Dagnela fé djitou, Thiaate-la (des gens malveillants vous ont devancé au Grand Théâtre).» Et Thione Balago Seck, son père, dans un discours rassurant lui a promis de veiller par ses prières pour son avenir rayonnant. « Da Ngaye Dém. Ta mère, Diaga née Fatou Kiné Diouf qui préfère les chansons dédiées au prophète au folklore, est une sainte » (Tu iras de l’avant. Personne ne pourra t’en empêcher. Je vais l’accompagner par mes prières parce qu’il passe toute sa journée à chercher mon plaisir. Il m’a offert une voiture de 50 millions. Personne ne peut t’arrêter).
Pis, dès la première chanson d’ouverture, le volume de la sonorisation a commencé à faire des siennes. Il a fallu que Thione Seck, le père de Waly accoure vers les techniciens pour que le problème soit vite réglé.
Et pour couronner le tout, il y avait d’interminables bagarres dans le public. Assez, pour que certaines langues pendues disent qu’on a jeté du poivre dans les loges du Grand Théâtre.
Marabouté ou pas ! Au finish, Waly Seck a réussi à relever le défi de la mobilisation. Parce que le Grand Théâtre était plein comme un œuf. Mieux, dans l’après-midi de ce dimanche, il a confirmé que la deuxième soirée se tiendra au Grand Théâtre. Nous y reviendrons…
SENEWEB
Après cette manœuvre à haut risque, Waly Seck a encore eu des sueurs froides une fois sur scène. Le mécanisme qui était prévu sur la scène pour surélever de manière fabuleuse la vedette des lieux, a refusé de fonctionner. Ce qui l’a exposé à un autre risque de chute dangereuse, parce qu’il y avait ainsi un grand trou béant entre le chanteur et son public venu nombreux. D’ailleurs, c’est Waly Seck lui-même, qui a ouvert les supputations au sujet du « mystique ». S’adressant à son épouse, Sokhna Aïdara au micro, il a dit : « c’est aujourd’hui que je vais voir si ton grand père est un saint homme. Parce qu’il n’est pas question que je tombe avec ce trou béant devant moi. Demain je vais jouer au Penc-Mi.» C’est ainsi que l’équipe technique de Moustapha Diop a déployé une planche en bois sur l’espace vide pour éviter le pire. Et quand Waly a voulu monter sur la planche pour se rapprocher davantage de son public, les fans’s se sont mis à crier : « Woroul… Woroul… Woroul…»
Suffisant pour que des voix s’élèvent dans le public pour dire : « Dagnela fé djitou, Thiaate-la (des gens malveillants vous ont devancé au Grand Théâtre).» Et Thione Balago Seck, son père, dans un discours rassurant lui a promis de veiller par ses prières pour son avenir rayonnant. « Da Ngaye Dém. Ta mère, Diaga née Fatou Kiné Diouf qui préfère les chansons dédiées au prophète au folklore, est une sainte » (Tu iras de l’avant. Personne ne pourra t’en empêcher. Je vais l’accompagner par mes prières parce qu’il passe toute sa journée à chercher mon plaisir. Il m’a offert une voiture de 50 millions. Personne ne peut t’arrêter).
Pis, dès la première chanson d’ouverture, le volume de la sonorisation a commencé à faire des siennes. Il a fallu que Thione Seck, le père de Waly accoure vers les techniciens pour que le problème soit vite réglé.
Et pour couronner le tout, il y avait d’interminables bagarres dans le public. Assez, pour que certaines langues pendues disent qu’on a jeté du poivre dans les loges du Grand Théâtre.
Marabouté ou pas ! Au finish, Waly Seck a réussi à relever le défi de la mobilisation. Parce que le Grand Théâtre était plein comme un œuf. Mieux, dans l’après-midi de ce dimanche, il a confirmé que la deuxième soirée se tiendra au Grand Théâtre. Nous y reviendrons…
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