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Ce dimanche 12 janvier 2025, Gris Bordeaux, le chef de file de l’écurie Fass, a subi une défaite cuisante face à Zarco. Ce combat, qui était très attendu par les amateurs de lutte sénégalaise, s’est soldé par une onzième défaite pour le 3ème tigre de Fass. Une énième déception pour ses nombreux supporters, qui espéraient le voir sortir par la grande porte.
Une prestation en demi-teinte
Gris Bordeaux, autrefois craint et respecté dans l’arène pour sa technique et sa force de frappe, a montré des signes évidents de déclin. Inoffensif, lent dans ses déplacements et sans réelle réaction, il a laissé une impression bien loin de celle d’un lutteur ayant terrassé des légendes telles que Bombardier, Mouhamed Ndao « Tyson » et Baye Mandione Fall. Depuis 2015, date de sa dernière victoire contre un Mouhamed Ndao « Tyson » vieillissant, le « 3ème tigre de Fass » semble avoir perdu de sa superbe.
La fin d’une ère ?
Avec ce nouveau revers, une question s’impose : Gris Bordeaux n’a-t-il pas fait le combat de trop ? Pour beaucoup d’observateurs de la lutte sénégalaise, la réponse semble évidente. Ce nouvel échec compromet sérieusement ses chances de décrocher un prochain combat, tant son aura semble s’être éteinte.
L’écurie Fass, mythique dans l’histoire de la lutte sénégalaise grâce aux exploits du premier tigre de Fass, feu Mbaye Guèye, et de son jeune frère, Moustapha Guèye, traverse ainsi une période difficile. Gris Bordeaux, qui en était le fer de lance, n’a pas su répondre aux attentes placées en lui. Ses performances récentes soulèvent des interrogations sur son avenir dans l’arène.
Une légende à saluer
Malgré tout, il est important de se rappeler que Gris Bordeaux a marqué l’histoire de la lutte sénégalaise. Ses exploits passés, notamment ses victoires contre des adversaires redoutables, restent gravés dans les mémoires. Cependant, comme pour tout athlète, le temps finit par imposer ses limites.
La lutte est un sport où le mental et le physique doivent être en parfaite harmonie. Dans le cas de Gris Bordeaux, il semble que ces éléments ne soient plus au rendez-vous. Le moment est peut-être venu pour lui de songer à ranger son « nguém » et prendre une retraite digne de son parcours exceptionnel.
Une leçon pour la nouvelle génération
Cette situation du champion fassois doit également servir de leçon pour la nouvelle génération de lutteurs. Il est essentiel de savoir choisir le moment opportun pour tirer sa révérence et conserver une image positive dans l’esprit des supporters. Gris Bordeaux, en tant que figure emblématique, pourra toujours contribuer à l’évolution de la lutte sénégalaise, mais peut-être sous une autre forme.
Une prestation en demi-teinte
Gris Bordeaux, autrefois craint et respecté dans l’arène pour sa technique et sa force de frappe, a montré des signes évidents de déclin. Inoffensif, lent dans ses déplacements et sans réelle réaction, il a laissé une impression bien loin de celle d’un lutteur ayant terrassé des légendes telles que Bombardier, Mouhamed Ndao « Tyson » et Baye Mandione Fall. Depuis 2015, date de sa dernière victoire contre un Mouhamed Ndao « Tyson » vieillissant, le « 3ème tigre de Fass » semble avoir perdu de sa superbe.
La fin d’une ère ?
Avec ce nouveau revers, une question s’impose : Gris Bordeaux n’a-t-il pas fait le combat de trop ? Pour beaucoup d’observateurs de la lutte sénégalaise, la réponse semble évidente. Ce nouvel échec compromet sérieusement ses chances de décrocher un prochain combat, tant son aura semble s’être éteinte.
L’écurie Fass, mythique dans l’histoire de la lutte sénégalaise grâce aux exploits du premier tigre de Fass, feu Mbaye Guèye, et de son jeune frère, Moustapha Guèye, traverse ainsi une période difficile. Gris Bordeaux, qui en était le fer de lance, n’a pas su répondre aux attentes placées en lui. Ses performances récentes soulèvent des interrogations sur son avenir dans l’arène.
Une légende à saluer
Malgré tout, il est important de se rappeler que Gris Bordeaux a marqué l’histoire de la lutte sénégalaise. Ses exploits passés, notamment ses victoires contre des adversaires redoutables, restent gravés dans les mémoires. Cependant, comme pour tout athlète, le temps finit par imposer ses limites.
La lutte est un sport où le mental et le physique doivent être en parfaite harmonie. Dans le cas de Gris Bordeaux, il semble que ces éléments ne soient plus au rendez-vous. Le moment est peut-être venu pour lui de songer à ranger son « nguém » et prendre une retraite digne de son parcours exceptionnel.
Une leçon pour la nouvelle génération
Cette situation du champion fassois doit également servir de leçon pour la nouvelle génération de lutteurs. Il est essentiel de savoir choisir le moment opportun pour tirer sa révérence et conserver une image positive dans l’esprit des supporters. Gris Bordeaux, en tant que figure emblématique, pourra toujours contribuer à l’évolution de la lutte sénégalaise, mais peut-être sous une autre forme.