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D'emblée, l'argentier de l'Etat s'est voulu clair : «Si c’était à refaire, le budget allait largement dépasser les 3022 milliards»
Expliquant sa position aux représentants du peuple, Amadou Ba a fait comprendre que les prévisions changent de jour en jour et les prétentions du Gouvernement s’en suivent. Le budget de l’année 2016 est un puissant symbole.
«Il témoigne de la volonté du Sénégal de persévérer sur la voie vers l’émergence», a-t-il déclaré. Non sans ajouter qu’il coïncide avec la deuxième phase de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (Pse).
«C’est également un excellent indicateur de bonne gouvernance», parce que, poursuit le ministre, c’est la première fois que le Sénégal investit plus de mille milliards (Ndlr : Pour le nouveau budget, les investissements s’élèvent à 1045 milliards). Sur la décision de «rationaliser les dépenses de fonctionnement au profit des investissements prioritaires du Pse», le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan d’indiquer qu’elle s’inscrit dans une suite logique de résultats probants. «Les précédentes lois de finances ont beaucoup misé sur les ressources de fonctionnement. On investissait beaucoup, mais on ne sentait pas la croissance», détaille M. Ba.
Par ailleurs, il estime que «c’est le budget le plus ambitieux, mais aussi le plus généreux que le Sénégal n’ait jamais connu.» Car, ex- plique-t-il, «le Gouvernement n’a jamais pensé autant aux couches les plus démunies.»
A ce titre, le ministre rappelle qu’une enveloppe de 35 milliards F Cfa sera allouée, cette année, au Programme d’urgence pour le développement économique (Pudc), 30 milliards F Cfa au programme de bourses de sécurité familiale et 11 autres milliards F Cfa à la Couverture maladie universelle (Cmu).
Réagissant aux nombreuses sollicitations des députés à propos des entreprises nationales comme la Sunéor, Transrail et la compagnie Sénégal air, Amadou Ba n’a pas manqué, dans sa déclaration, de révéler que ces structures vont faire l’objet d’une restructuration dans un délai proche.
DAKARACTU
Expliquant sa position aux représentants du peuple, Amadou Ba a fait comprendre que les prévisions changent de jour en jour et les prétentions du Gouvernement s’en suivent. Le budget de l’année 2016 est un puissant symbole.
«Il témoigne de la volonté du Sénégal de persévérer sur la voie vers l’émergence», a-t-il déclaré. Non sans ajouter qu’il coïncide avec la deuxième phase de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (Pse).
«C’est également un excellent indicateur de bonne gouvernance», parce que, poursuit le ministre, c’est la première fois que le Sénégal investit plus de mille milliards (Ndlr : Pour le nouveau budget, les investissements s’élèvent à 1045 milliards). Sur la décision de «rationaliser les dépenses de fonctionnement au profit des investissements prioritaires du Pse», le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan d’indiquer qu’elle s’inscrit dans une suite logique de résultats probants. «Les précédentes lois de finances ont beaucoup misé sur les ressources de fonctionnement. On investissait beaucoup, mais on ne sentait pas la croissance», détaille M. Ba.
Par ailleurs, il estime que «c’est le budget le plus ambitieux, mais aussi le plus généreux que le Sénégal n’ait jamais connu.» Car, ex- plique-t-il, «le Gouvernement n’a jamais pensé autant aux couches les plus démunies.»
A ce titre, le ministre rappelle qu’une enveloppe de 35 milliards F Cfa sera allouée, cette année, au Programme d’urgence pour le développement économique (Pudc), 30 milliards F Cfa au programme de bourses de sécurité familiale et 11 autres milliards F Cfa à la Couverture maladie universelle (Cmu).
Réagissant aux nombreuses sollicitations des députés à propos des entreprises nationales comme la Sunéor, Transrail et la compagnie Sénégal air, Amadou Ba n’a pas manqué, dans sa déclaration, de révéler que ces structures vont faire l’objet d’une restructuration dans un délai proche.
DAKARACTU
