Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali a démissionné mardi 19 février, après l’échec de son projet de formation d’un gouvernement de technocrates visant à mettre fin à la crise politique.
Une promesse qu’il a donc tenue. "J’avais promis qu’en cas d’échec de mon initiative, je démissionnerais et (...) je l’ai déjà fait", a déclaré le chef du gouvernement lors d’une conférence de presse à l’issue d’un entretien avec le président Moncef Marzouki.
Hamadi Jebali avait reconnu la veille l’échec de son projet. Les principaux partis politiques tunisiens n’avaient pas réussi à s’accorder sur la formation d’un nouveau gouvernement d’experts indépendants – et donc sans étiquette politique - après la tourmente provoquée par l’assassinat de l’opposant de gauche Chokri Belaïd, le 6 février.
"L'échec de mon initiative n'est pas l'échec de la Tunisie"
Le Premier ministre tunisien était même rentré en conflit avec son propre camp, Ennadha, qui estimait que cette initiative - bien accueillie par l'opposition laïque - remettait en cause la légitimité des urnes.
Malgré tout, Jebali reste confiant et croit en la capacité de la Tunisie à sortir de la crise politique. "L'échec de mon initiative ne signifie pas l'échec de la Tunisie ou l'échec de la révolution", a-t-il souligné, "je suis convaincu" qu'un gouvernement apolitique "est le meilleur moyen pour sortir le pays de l'errance".
Il a également insisté une nouvelle fois sur l'urgence de fixer la date des prochaines élections.
Avec dépêches
France24
Une promesse qu’il a donc tenue. "J’avais promis qu’en cas d’échec de mon initiative, je démissionnerais et (...) je l’ai déjà fait", a déclaré le chef du gouvernement lors d’une conférence de presse à l’issue d’un entretien avec le président Moncef Marzouki.
Hamadi Jebali avait reconnu la veille l’échec de son projet. Les principaux partis politiques tunisiens n’avaient pas réussi à s’accorder sur la formation d’un nouveau gouvernement d’experts indépendants – et donc sans étiquette politique - après la tourmente provoquée par l’assassinat de l’opposant de gauche Chokri Belaïd, le 6 février.
"L'échec de mon initiative n'est pas l'échec de la Tunisie"
Le Premier ministre tunisien était même rentré en conflit avec son propre camp, Ennadha, qui estimait que cette initiative - bien accueillie par l'opposition laïque - remettait en cause la légitimité des urnes.
Malgré tout, Jebali reste confiant et croit en la capacité de la Tunisie à sortir de la crise politique. "L'échec de mon initiative ne signifie pas l'échec de la Tunisie ou l'échec de la révolution", a-t-il souligné, "je suis convaincu" qu'un gouvernement apolitique "est le meilleur moyen pour sortir le pays de l'errance".
Il a également insisté une nouvelle fois sur l'urgence de fixer la date des prochaines élections.
Avec dépêches
France24