’annonce a été faite par le docteur Issa Faye, sélectionneur d’arachide à l’ISRA de Bambey. Le docteur Faye s’exprimait lors d’une visite d’une délégation composée des membres du Projet de soutien à la productivité agricole en Afrique de l’Ouest (WAAPP) et de la Banque mondiale à la station de recherches de l’ISRA, à Sinthiou Malème, près de Tambacounda.
‘’Ce sont des variétés fourragères avec des rendements de deux à trois tonnes à l’hectare. Elles peuvent produire à l’hectare, trois tonnes de gousses et trois tonnes de fanes en hivernage. Et en contre-saison, on fait cinq tonnes par variété. Et elles (variétés) ont un cycle court de 90 jour’’, a précisé Issa Faye.
Selon lui, "face aux changements climatiques, les nouvelles variétés doivent s’adapter dans la zone sud-est du pays, notamment à Tamba où il y a la réduction de la pluviométrie’’.
Le docteur Issa Faye indique que ces variétés, homologuées par l’ISRA, ont d’abord été testées en milieu paysan. ’’On aura avec elles, une bonne stabilité de rendement’’, a-t-il ajouté.
‘’En hivernage prochain, ces variétés seront disponibles pour les producteurs, car on va les donner à des multiplicateurs de semences, comme l’Association sénégalaise pour la promotion du développement par la base (ASPRODEB) et d’autres privés qui feront la distribution’’, a-t-il dit.
Pour sa part, l’agro-économiste principale à la Banque mondiale, Ayfa Fatimata Ndoye Niane, estime que ces variétés ‘’sont intéressantes et répondent aux effets de changement climatique’’.
Elle a promis que la Banque va ‘’assurer sa diffusion le plus rapidement possible au bénéfice des producteurs’’.
Mme Niane soutient que ‘’l’ISRA a abattu, à travers le centre national de spécialisation qui va devenir un centre national d’excellence pour les régions d’Afrique de l’Ouest, un travail extraordinaire en générant ces nouvelles variétés’’.
Le défi, poursuit-elle, est de multiplier ces nouvelles semences et mettre des mécanismes pour qu’elles soient à la disposition des producteurs et ainsi relever le niveau de productivité qui est un défi majeur de la chaîne de valeur arachide.
Ayfa Fatimata Ndoye Niane, qui est chargée du PPAAO/WAAPP, estime que les producteurs et les huileries ne pourront trouver des solutions à leur forte demande qu’à travers l’amélioration de la productivité. Et elle juge que ces variétés sont prometteuses dans ce sens.
‘’Ce sont des variétés fourragères avec des rendements de deux à trois tonnes à l’hectare. Elles peuvent produire à l’hectare, trois tonnes de gousses et trois tonnes de fanes en hivernage. Et en contre-saison, on fait cinq tonnes par variété. Et elles (variétés) ont un cycle court de 90 jour’’, a précisé Issa Faye.
Selon lui, "face aux changements climatiques, les nouvelles variétés doivent s’adapter dans la zone sud-est du pays, notamment à Tamba où il y a la réduction de la pluviométrie’’.
Le docteur Issa Faye indique que ces variétés, homologuées par l’ISRA, ont d’abord été testées en milieu paysan. ’’On aura avec elles, une bonne stabilité de rendement’’, a-t-il ajouté.
‘’En hivernage prochain, ces variétés seront disponibles pour les producteurs, car on va les donner à des multiplicateurs de semences, comme l’Association sénégalaise pour la promotion du développement par la base (ASPRODEB) et d’autres privés qui feront la distribution’’, a-t-il dit.
Pour sa part, l’agro-économiste principale à la Banque mondiale, Ayfa Fatimata Ndoye Niane, estime que ces variétés ‘’sont intéressantes et répondent aux effets de changement climatique’’.
Elle a promis que la Banque va ‘’assurer sa diffusion le plus rapidement possible au bénéfice des producteurs’’.
Mme Niane soutient que ‘’l’ISRA a abattu, à travers le centre national de spécialisation qui va devenir un centre national d’excellence pour les régions d’Afrique de l’Ouest, un travail extraordinaire en générant ces nouvelles variétés’’.
Le défi, poursuit-elle, est de multiplier ces nouvelles semences et mettre des mécanismes pour qu’elles soient à la disposition des producteurs et ainsi relever le niveau de productivité qui est un défi majeur de la chaîne de valeur arachide.
Ayfa Fatimata Ndoye Niane, qui est chargée du PPAAO/WAAPP, estime que les producteurs et les huileries ne pourront trouver des solutions à leur forte demande qu’à travers l’amélioration de la productivité. Et elle juge que ces variétés sont prometteuses dans ce sens.
Auteur: Aps - APS