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Senxibar.com - " Siw dou diami borom " . La Serie Bercy avec comme acteur principal Wally Seck risque d'être longue et riche en épisodes.
Le spectacle du fils de Thione Ballago Seck qui s'est tenu le samedi 4 juin ne cesse de faire couler beaucoup de salive au Sénégal et à Paris.
D'après nos sources logées en terre parisienne, dans les prochains jours, la justice française se mettra aux trousses du jeune chanteur. Cela suite à la mise en demeure servie pa Yuma Production aux labels Sénart Vision et Vouzenou.
Cette histoire qui risque d'avoir des lendemains malheureux a été causée par la soirée animée par Wally au Dock le dimanche 5 juin sans permis de travail.
Les Labels Sénart Vision et Vouzenou qui ont organisé la soirée de Wally à Bercy auraient porté plainte contre Wally Seck qui n'avait le droit de se produire au Dock d'autant plus que le chouchou des sénégalais et son groupe sont venus en France grâce aux permis de travail délivrés par Yuma Production.
Le Faramaréne devra répondre devant la justice française pour s'expliquer sur sa soirée tenue le dimanche 5 juin au Dock sans autorisation.
Cette soirée est considérée comme du " travail au noir " ce qui constitue un délit en France.
Si Wally refuse de répondre, il sera " traqué " par le fisc.
Soif d'argent, le jeune chanteur s’est produit illégalement le dimanche 5 au Doc Haussman avec un autre promoteur alors qu’il avait un permis de travail uniquement pour le concert de Bercy. Cette infraction (fraude) pourrait lui coûter cher notamment auprès des autorités françaises qui ne badinent pas avec les impôts.
C’est dire donc que le torchon a véritablement pris feu entre Wally Seck, Sénart Vision, Vouzenou et Yuma Production. Il faudra à Wally un avocat comme feu maître Verges pour se tirer d'affaire.
Le travailleur au noir n'a aucune protection sociale en cas d'accident. Par contre avec des permis de travail, Wally et ses musiciens sont protégés par la législation des accidents du travail, dès lors qu'ils se trouvent dans une situation de dépendance à l'égard de leur "employeur" au moment de l'accident.
La soirée aminée par Wally au Dock est une activité clandestine car elle est aucunement prise en compte dans le calcul de ses droits chargés.
Pour prouver leur honnêteté et loyauté à Yuma Production, les Labels Sénart Vision et Vouzenou sont obligés de porter plainte contre Wally Seck devant la justice française pour rester crédibles et rétablir la vérité des faits dans cette affaire de gros sous.
A ce jour, quarte chefs d'accusation pourraient tomber sur la tête de Wally et de son groupe, à savoir :
- poursuites pour délit de Travail au noir
- poursuite pour non déclaration de revenu s
- poursuites pour organisation de spectacle sans autorisation
- poursuites pour fraude fiscale en bande organisée.
Prions pour que Wally se soit pas dans la ligne de mire du fisc français qui ne pardonne jamais quand il s'agit de renflouer ses caisses.
Si le Faramarene refuse de répondre de ses faits, il pourrait être sanctionné par une
interdiction du territoire français (ITF). Cette sanction est prononcée par le juge pénal, à l'encontre d'un étranger coupable d'un crime ou d'un délit. Elle peut être infligée, dans plusieurs cas, comme peine principale ou comme peine complémentaire à une peine d'emprisonnement ou d'amende. Des recours contre cette mesure judiciaire sont possibles.
senxibar
Le spectacle du fils de Thione Ballago Seck qui s'est tenu le samedi 4 juin ne cesse de faire couler beaucoup de salive au Sénégal et à Paris.
D'après nos sources logées en terre parisienne, dans les prochains jours, la justice française se mettra aux trousses du jeune chanteur. Cela suite à la mise en demeure servie pa Yuma Production aux labels Sénart Vision et Vouzenou.
Cette histoire qui risque d'avoir des lendemains malheureux a été causée par la soirée animée par Wally au Dock le dimanche 5 juin sans permis de travail.
Les Labels Sénart Vision et Vouzenou qui ont organisé la soirée de Wally à Bercy auraient porté plainte contre Wally Seck qui n'avait le droit de se produire au Dock d'autant plus que le chouchou des sénégalais et son groupe sont venus en France grâce aux permis de travail délivrés par Yuma Production.
Le Faramaréne devra répondre devant la justice française pour s'expliquer sur sa soirée tenue le dimanche 5 juin au Dock sans autorisation.
Cette soirée est considérée comme du " travail au noir " ce qui constitue un délit en France.
Si Wally refuse de répondre, il sera " traqué " par le fisc.
Soif d'argent, le jeune chanteur s’est produit illégalement le dimanche 5 au Doc Haussman avec un autre promoteur alors qu’il avait un permis de travail uniquement pour le concert de Bercy. Cette infraction (fraude) pourrait lui coûter cher notamment auprès des autorités françaises qui ne badinent pas avec les impôts.
C’est dire donc que le torchon a véritablement pris feu entre Wally Seck, Sénart Vision, Vouzenou et Yuma Production. Il faudra à Wally un avocat comme feu maître Verges pour se tirer d'affaire.
Le travailleur au noir n'a aucune protection sociale en cas d'accident. Par contre avec des permis de travail, Wally et ses musiciens sont protégés par la législation des accidents du travail, dès lors qu'ils se trouvent dans une situation de dépendance à l'égard de leur "employeur" au moment de l'accident.
La soirée aminée par Wally au Dock est une activité clandestine car elle est aucunement prise en compte dans le calcul de ses droits chargés.
Pour prouver leur honnêteté et loyauté à Yuma Production, les Labels Sénart Vision et Vouzenou sont obligés de porter plainte contre Wally Seck devant la justice française pour rester crédibles et rétablir la vérité des faits dans cette affaire de gros sous.
A ce jour, quarte chefs d'accusation pourraient tomber sur la tête de Wally et de son groupe, à savoir :
- poursuites pour délit de Travail au noir
- poursuite pour non déclaration de revenu s
- poursuites pour organisation de spectacle sans autorisation
- poursuites pour fraude fiscale en bande organisée.
Prions pour que Wally se soit pas dans la ligne de mire du fisc français qui ne pardonne jamais quand il s'agit de renflouer ses caisses.
Si le Faramarene refuse de répondre de ses faits, il pourrait être sanctionné par une
interdiction du territoire français (ITF). Cette sanction est prononcée par le juge pénal, à l'encontre d'un étranger coupable d'un crime ou d'un délit. Elle peut être infligée, dans plusieurs cas, comme peine principale ou comme peine complémentaire à une peine d'emprisonnement ou d'amende. Des recours contre cette mesure judiciaire sont possibles.
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