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La grande question que tout le monde se pose, c’est qu’est-ce qui sous-tend cette décision ? "Il est clair que les vraies raisons n’ont pas été dites, même si le PDG, Sidy Lamine Niass a tenté de donner des explications sur cette mesure, surtout que, ce n’est pas seulement des travailleurs de la presse écrite qui ont été les seuls victimes, des journalistes et reporters de la radio et de la Télévision sont également concernés, car certains parmi nous ont également arrêté après l’expiration de leur contrat dont certains ont été renouvelés plus de 2 fois", informe l'un de ces désormais ex-employés de Walfadiri.
Face à cette situation, il est clair qu’aujourd’hui, le grand problème se trouve être d’ordre économique car 3 mois après, ces ex travailleurs n’ont toujours pas reçu leur indemnités de fin de contrat comme le prévoit le code du travail notamment en son Article L.47 qui dispose que « Lorsque les relations contractuelles de travail ne se poursuivent pas à l’issue d’un contrat de travail à durée déterminée, le travailleur à droit à une indemnité de fin de contrat, à titre de complément de salaire qui est égale à 7 % du montant de la rémunération totale brute due au travailleur ». La somme de ces indemnités varie selon la durée de présence des travailleurs dans cet organe de presse. Certains réclament plus d’un millions de F Cfa.
Aussi ces ex travailleurs du groupe Walfadjri ne comprennent pas l’attitude de la direction du groupe de presse de la route du Front de terre qui refuse de leur délivrer des attestions de travail en bonne et due forme en se réfugiant toujours derrière le PDG qui, selon eux (les responsables), est le seul habilité à donner ce document. Sur ce point également, ils rappellent que l’Article L.58 du code du travail stipule que « A l’expiration du contrat, l’employeur doit, sous peine de dommages et intérêts, remettre au travailleur, au moment de son départ définitif de l’entreprise, un certificat indiquant exclusivement la date de son entrée, celle de sa sortie, la nature et les dates des emplois successivement occupés, la catégorie de la convention collective dont le travailleur relève ».
Ces travailleurs n’excluent donc pas de se faire entendre par tous les moyens légaux car ils soutiennent en avoir marre des promesses de l’administration de « Walfadjri » mais aussi des réunions et des négociations à n'en plus finir.
leral.net
Face à cette situation, il est clair qu’aujourd’hui, le grand problème se trouve être d’ordre économique car 3 mois après, ces ex travailleurs n’ont toujours pas reçu leur indemnités de fin de contrat comme le prévoit le code du travail notamment en son Article L.47 qui dispose que « Lorsque les relations contractuelles de travail ne se poursuivent pas à l’issue d’un contrat de travail à durée déterminée, le travailleur à droit à une indemnité de fin de contrat, à titre de complément de salaire qui est égale à 7 % du montant de la rémunération totale brute due au travailleur ». La somme de ces indemnités varie selon la durée de présence des travailleurs dans cet organe de presse. Certains réclament plus d’un millions de F Cfa.
Aussi ces ex travailleurs du groupe Walfadjri ne comprennent pas l’attitude de la direction du groupe de presse de la route du Front de terre qui refuse de leur délivrer des attestions de travail en bonne et due forme en se réfugiant toujours derrière le PDG qui, selon eux (les responsables), est le seul habilité à donner ce document. Sur ce point également, ils rappellent que l’Article L.58 du code du travail stipule que « A l’expiration du contrat, l’employeur doit, sous peine de dommages et intérêts, remettre au travailleur, au moment de son départ définitif de l’entreprise, un certificat indiquant exclusivement la date de son entrée, celle de sa sortie, la nature et les dates des emplois successivement occupés, la catégorie de la convention collective dont le travailleur relève ».
Ces travailleurs n’excluent donc pas de se faire entendre par tous les moyens légaux car ils soutiennent en avoir marre des promesses de l’administration de « Walfadjri » mais aussi des réunions et des négociations à n'en plus finir.
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