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D’après la police espagnole sept (7) victimes ont été secourues et neuf (9) membres du réseau ont été arrêtés. Des jeunes filles dont l’âge n’a toute fois pas été précisées. Selon un communiqué de la police espagnole, les victimes, en situation de grande pauvreté, étaient approchées au Nigeria et gagnaient l’Europe par des routes de migration illégale, en passant par le Niger, la Libye et l’Italie.
Des passeurs à la solde du réseau leur faisaient traverser la Méditerranée dans des embarcations mal équipées au péril de leur vie.
Une fois en Italie, le réseau, dirigé par trois femmes d’origine nigériane, organisait leur voyage en Espagne par avion en leur fournissant des papiers d’identité appartenant à d’autres Nigérianes résidant légalement dans ce pays. Ensuite, ces nigérianes devaient faire une demande d’asile pour éviter d’être expulsées. Le réseau leur signifiait alors qu’il avait une dette de quelque 40.000 euros pour le voyage et les forçait à se prostituer pour la rembourser.
Les jeunes femmes devaient ensuite se prostituer dans des conditions inhumaines dans les rues de Bilbao, dans le nord de l’Espagne et de la station balnéaire de Benidorm dans l’Est.
Selon l’Organisation internationale pour les migrations, le 28 décembre dernier, plus de 360.000 migrants étaient arrivés en Europe par la mer en 2016 et plus de 4.900 sont morts pendant la traversée.
Des passeurs à la solde du réseau leur faisaient traverser la Méditerranée dans des embarcations mal équipées au péril de leur vie.
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