Il explique également pourquoi il a livré les informations dont il disposait à la presse. « Il n'y a pas d'avenir pour des services secrets qui croient qu'ils peuvent mentir au législateur et à l'opinion publique qui leur font confiance et sont là pour les réguler, pose-t-il. Lorsque j'ai pris conscience de cela, ça voulait dire pour moi qu'il n'y avait plus de retour en arrière possible. Je n'avais pas le moindre doute à ce sujet. De plus, j'étais convaincu que personne d'autre que moi ne le ferait. L'opinion publique avait le droit d'être informée de tout cela. »
Espionnage industriel
« Il serait naïf de croire que seule la chancelière a été espionnée en Allemagne, mais pas ses ministres, ni ses conseillers », poursuit l’ancien salarié de la NSA, qui accuse par la même occasion l’agence américaine de s’emparer d’informations sensibles des entreprises - par exemple Siemens -, que ces informations soient importantes pour la sécurité des Etats-Unis ou non.
DAKARACTU
Espionnage industriel
« Il serait naïf de croire que seule la chancelière a été espionnée en Allemagne, mais pas ses ministres, ni ses conseillers », poursuit l’ancien salarié de la NSA, qui accuse par la même occasion l’agence américaine de s’emparer d’informations sensibles des entreprises - par exemple Siemens -, que ces informations soient importantes pour la sécurité des Etats-Unis ou non.
DAKARACTU