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Le bref communiqué du ministère ne fournit aucune autre indication sur le motif du départ – inattendu – de ce cadre réputé pour sa connaissance des dossiers et son expérience.
L’homme fort de l’après attentats
Ancien directeur général de la sécurité présidentielle sous le régime de Zine el Abidine Ben Ali, puis diplomate, Abderrahmane Belhaj Ali avait été rappelé au ministère de l’Intérieur le 1er décembre 2015, à la demande du Premier ministre d’alors, Habib Essid, alors qu’il se trouvait à la retraite. Sa nomination faisait partie d’une vaste réorganisation de l’appareil sécuritaire opérée dans la foulée de l’attentat suicide du 24 novembre 2015 perpétré en plein Tunis contre un bus de la sécurité présidentielle. Sa mission : rétablir l’ordre et la sécurité dans une Tunisie meurtrie par une série d’attentats depuis le début de l’année.
Directeur de la sécurité sous Ben Ali puis ambassadeur
Né dans la région de Monastir (Sahel), Abderrahmane Hadj Ali a effectué l’essentiel de sa carrière au ministère de l’Intérieur qu’il a intégré dans les années 1970. Il en a gravi les échelons avec la satisfaction de ses chefs et a occupé des postes clés dont la Direction des frontières et des étrangers.
En 1987, il a accompagné Ben Ali à Carthage lors de sa prise de pouvoir en tant que directeur général de la sécurité présidentielle et y est resté 14 ans avant d’être nommé ambassadeur de Tunisie en Mauritanie jusqu’en 2009, puis à Malte jusqu’à la chute de Ben Ali en 2011.
L’homme fort de l’après attentats
Ancien directeur général de la sécurité présidentielle sous le régime de Zine el Abidine Ben Ali, puis diplomate, Abderrahmane Belhaj Ali avait été rappelé au ministère de l’Intérieur le 1er décembre 2015, à la demande du Premier ministre d’alors, Habib Essid, alors qu’il se trouvait à la retraite. Sa nomination faisait partie d’une vaste réorganisation de l’appareil sécuritaire opérée dans la foulée de l’attentat suicide du 24 novembre 2015 perpétré en plein Tunis contre un bus de la sécurité présidentielle. Sa mission : rétablir l’ordre et la sécurité dans une Tunisie meurtrie par une série d’attentats depuis le début de l’année.
Directeur de la sécurité sous Ben Ali puis ambassadeur
Né dans la région de Monastir (Sahel), Abderrahmane Hadj Ali a effectué l’essentiel de sa carrière au ministère de l’Intérieur qu’il a intégré dans les années 1970. Il en a gravi les échelons avec la satisfaction de ses chefs et a occupé des postes clés dont la Direction des frontières et des étrangers.
En 1987, il a accompagné Ben Ali à Carthage lors de sa prise de pouvoir en tant que directeur général de la sécurité présidentielle et y est resté 14 ans avant d’être nommé ambassadeur de Tunisie en Mauritanie jusqu’en 2009, puis à Malte jusqu’à la chute de Ben Ali en 2011.