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Selon un document illustratif, « en 2012, le programme a notifié 12810 cas de tuberculose, toutes formes confondues, soit un taux de détection, toutes formes confondues, de 69% ; soit une augmentation de 1200 cas. 8448 nouveaux cas de tuberculose pulmonaire ». D’après toujours le texte, Dakar polarise 44% (5734) des malades dont 3609 nouveaux cas. La région de Thiès vient en deuxième position avec 1825 cas suivi de Diourbel qui en compte 1226. Les régions à faible taux de détection sont constituées par Kaffrine (20%), Matam (22%), Fatick (25%), Tamba et Kolda (29%). Les sujets les plus susceptibles de contracter la maladie, selon les données, sont constitués principalement de la population active avec 76% de cas de tuberculose âgés entre 15 et 44 ans.
La coordonnatrice du Pnt, Marie Sarr Diouf, a donc déclaré : « Ce qu’on peut retenir en 2012, c’est qu’on a eu quelques acquis au niveau du programme. Pour dire qu’en 2012, il y a eu un programme communautaire avec un paquet de services et avec une pleine responsabilisation de la société civile à travers les Ong et les organisations communautaires de base (Ocb). Ces services communautaires, qui sont délivrés au niveau des différentes localités, ont permis d’orienter les tousseurs chroniques vers les structures de santé et ont permis d’accompagner également le malade, concrètement, pour qu’il n’y ait pas de situation d’abandon ». Et Mme Diouf de poursuivre : « en plus du programme communautaire, nous avons procédé à l’introduction de nouvelles techniques de haute portée. Des diagnostics qui ont facilité la détection de cas, surtout, de tuberculose multi-résistante en moins de deux heures ».
La coordonnatrice du Pnt, Marie Sarr Diouf, a donc déclaré : « Ce qu’on peut retenir en 2012, c’est qu’on a eu quelques acquis au niveau du programme. Pour dire qu’en 2012, il y a eu un programme communautaire avec un paquet de services et avec une pleine responsabilisation de la société civile à travers les Ong et les organisations communautaires de base (Ocb). Ces services communautaires, qui sont délivrés au niveau des différentes localités, ont permis d’orienter les tousseurs chroniques vers les structures de santé et ont permis d’accompagner également le malade, concrètement, pour qu’il n’y ait pas de situation d’abandon ». Et Mme Diouf de poursuivre : « en plus du programme communautaire, nous avons procédé à l’introduction de nouvelles techniques de haute portée. Des diagnostics qui ont facilité la détection de cas, surtout, de tuberculose multi-résistante en moins de deux heures ».