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Vous venez d’être reçue par le président de la République. Quel sentiment vous anime après votre nomination?
Monsieur le président de la République m’a fait l’honneur de me recevoir. Tout d’abord pour me féliciter et m’encourager par rapport à cette lourde charge qu’il vient de me confier. J'ai profité de cette occasion pour lui exprimer mes remerciements et ma gratitude pour cette confiance placée en ma modeste personne. Et, au-delà, pour sa confiance renouvelée à l’institution policière en plaçant à sa tête un commissaire de police. Je tenais donc à présenter à Monsieur le président de la République tous mes remerciements et ma gratitude. Mais aussi, les remerciements de toute l’institution de la police nationale qui s’engage avec moi à poursuivre le combat et à lutter pour la sécurité à l’intérieur du territoire national et au-delà de nos de nos frontières. Mais aussi à relever tous les défis qui s’imposent à l’intérieur comme à l’extérieur de nos frontières
Le rapport de Transparency international a épinglé la police comme faisant partie des corps les plus corrompus. Aujourd’hui que comptez-vous faire pour renverser la tendance ?
La police nationale est engagée à mes côtés pour relever effectivement cet immense défi. D’abord, un défi de discipline dans les rangs, mais aussi un défi pour que l’éthique et la déontologie puissent être au cœur de nos préoccupations. Nous sommes tous engagés à redresser la barre, compte tenu de tous ces événements qui sont intervenus ces dernières semaines. Et nous sommes particulièrement prêts à faire en sorte que les comportements qui nuisent à l’honorabilité et à la respectabilité de cette institution puissent être bannis à jamais. Donc nous allons placer, je ne dirai pas ce mandat, mais ce service que je prends à la tête de la police pour faire en sorte que nous puissions nous battre pour éliminer à jamais des comportements qui n’honorent pas cette institution. La police est une bonne institution. C’est également une grande institution qui a toujours été respectée et qui a toujours su relever le défi. A l’intérieur du territoire national comme dans le champ extérieur nous sommes tout le temps sollicités. Donc l’engagement que nous prenons, c’est de faire de telle sorte que l’éthique et la déontologie soient respectées, de veiller à ce que le comportement sur la voie publique soit respecté, mais pour que certaines pratiques disparaissent à jamais dans la police.
Les Sénégalais ne se sentent pas parfois en sécurités. C’est également un autre chantier pour vous. Que leur dites-vous pour les rassurer ?
C’est effectivement un grand chantier. Ce sentiment d’insécurité nous allons tout entreprendre pour faire en sorte que le Sénégalais voit davantage le policier qui est chargé de veiller à sa sécurité. Mais, il faudra aussi rendre la police encore plus visible dans les quartiers les plus proches de nos frontières et rassurer davantage les populations. Je pense que c'est extrêmement important d’être à l’écoute des populations et de leurs préoccupations, d’être visible à travers des dispositifs qui nous permettront d’intervenir à chaque fois de besoin. Le mot que j’aimerai employer c’est de rassurer par la visibilité des forces de sécurité, de rassurer par la prévention et l’écoute des préoccupations des populations.
Avec la Rts
Monsieur le président de la République m’a fait l’honneur de me recevoir. Tout d’abord pour me féliciter et m’encourager par rapport à cette lourde charge qu’il vient de me confier. J'ai profité de cette occasion pour lui exprimer mes remerciements et ma gratitude pour cette confiance placée en ma modeste personne. Et, au-delà, pour sa confiance renouvelée à l’institution policière en plaçant à sa tête un commissaire de police. Je tenais donc à présenter à Monsieur le président de la République tous mes remerciements et ma gratitude. Mais aussi, les remerciements de toute l’institution de la police nationale qui s’engage avec moi à poursuivre le combat et à lutter pour la sécurité à l’intérieur du territoire national et au-delà de nos de nos frontières. Mais aussi à relever tous les défis qui s’imposent à l’intérieur comme à l’extérieur de nos frontières
Le rapport de Transparency international a épinglé la police comme faisant partie des corps les plus corrompus. Aujourd’hui que comptez-vous faire pour renverser la tendance ?
La police nationale est engagée à mes côtés pour relever effectivement cet immense défi. D’abord, un défi de discipline dans les rangs, mais aussi un défi pour que l’éthique et la déontologie puissent être au cœur de nos préoccupations. Nous sommes tous engagés à redresser la barre, compte tenu de tous ces événements qui sont intervenus ces dernières semaines. Et nous sommes particulièrement prêts à faire en sorte que les comportements qui nuisent à l’honorabilité et à la respectabilité de cette institution puissent être bannis à jamais. Donc nous allons placer, je ne dirai pas ce mandat, mais ce service que je prends à la tête de la police pour faire en sorte que nous puissions nous battre pour éliminer à jamais des comportements qui n’honorent pas cette institution. La police est une bonne institution. C’est également une grande institution qui a toujours été respectée et qui a toujours su relever le défi. A l’intérieur du territoire national comme dans le champ extérieur nous sommes tout le temps sollicités. Donc l’engagement que nous prenons, c’est de faire de telle sorte que l’éthique et la déontologie soient respectées, de veiller à ce que le comportement sur la voie publique soit respecté, mais pour que certaines pratiques disparaissent à jamais dans la police.
Les Sénégalais ne se sentent pas parfois en sécurités. C’est également un autre chantier pour vous. Que leur dites-vous pour les rassurer ?
C’est effectivement un grand chantier. Ce sentiment d’insécurité nous allons tout entreprendre pour faire en sorte que le Sénégalais voit davantage le policier qui est chargé de veiller à sa sécurité. Mais, il faudra aussi rendre la police encore plus visible dans les quartiers les plus proches de nos frontières et rassurer davantage les populations. Je pense que c'est extrêmement important d’être à l’écoute des populations et de leurs préoccupations, d’être visible à travers des dispositifs qui nous permettront d’intervenir à chaque fois de besoin. Le mot que j’aimerai employer c’est de rassurer par la visibilité des forces de sécurité, de rassurer par la prévention et l’écoute des préoccupations des populations.
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