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Dans le document dont Leral a reçu copie, le dg de l’Ancar informe que le 12 octobre, sa direction a reçu une correspondance de la Banque Uba l’informant que l’agence devait verser une somme de 49 600 000 FCFA dans le compte de l’entreprise RODA GROUPE, ouvert sur les livres de leur banque.
La direction de la zone de la Vallée du fleuve Sénégal aurait pris l’engagement irrévocable de virer les montants de la facture de Roda Groupe dans leur compte ouvert sur les livres de la banque UBA.
Saisie, la direction de la zone en question a assuré ne pas être au courant de cette affaire. Pourtant, l’entête de la direction de la vallée du fleuve Sénégal (Ndioum), un cachet anonyme portant l’écriture « agence nationale de conseil agricole rural ANCAR) ainsi que des noms et signatures de certains agents figurent bel et bien sur ces documents alors que ces derniers nient toute implication dans cette affaire.
Le 24 novembre 2012, la banque aurait relancé l’Ancar par courrier électronique, la rappelant avoir financé cette relation à hauteur de 49 600 000 FCFA sur la base de cette domiciliation irrévocable de paiement de l’Ancar. Auparavant, UBA avait reçu une réponse de la direction de la vallée du fleuve Sénégal, datée du 9 novembre 2012 qui s’excuse d’être contrainte de différer le règlement à cause d’un retard de mise en place du budget qui s’expliquerait par les élections présidentielles et législatives. L’Ancar, qui demande que justice soit rendue, a transmis le dossier à son conseiller juridique pour savoir la conduite à tenir.
La direction de la zone de la Vallée du fleuve Sénégal aurait pris l’engagement irrévocable de virer les montants de la facture de Roda Groupe dans leur compte ouvert sur les livres de la banque UBA.
Saisie, la direction de la zone en question a assuré ne pas être au courant de cette affaire. Pourtant, l’entête de la direction de la vallée du fleuve Sénégal (Ndioum), un cachet anonyme portant l’écriture « agence nationale de conseil agricole rural ANCAR) ainsi que des noms et signatures de certains agents figurent bel et bien sur ces documents alors que ces derniers nient toute implication dans cette affaire.
Le 24 novembre 2012, la banque aurait relancé l’Ancar par courrier électronique, la rappelant avoir financé cette relation à hauteur de 49 600 000 FCFA sur la base de cette domiciliation irrévocable de paiement de l’Ancar. Auparavant, UBA avait reçu une réponse de la direction de la vallée du fleuve Sénégal, datée du 9 novembre 2012 qui s’excuse d’être contrainte de différer le règlement à cause d’un retard de mise en place du budget qui s’expliquerait par les élections présidentielles et législatives. L’Ancar, qui demande que justice soit rendue, a transmis le dossier à son conseiller juridique pour savoir la conduite à tenir.
