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Par ce geste ils voulaient se faire entendre et protester contre la rareté de l’emploi dans le pays. Moussokdjim Berodjingar est le responsable du Mouvement de ces étudiants qui ont fait ce geste.
»Au Tchad l’accès à l’emploi dans le secteur privé n’est pas chose facile faute d’industrialisation du pays » dit-il, joint par bbc afrique.
»Les jeunes diplômés sont abandonnés à leur triste sort » ajout-il. Moussokdjim Berodjingar témoigne avoir lui-même brûlé son diplôme de Master en lettres modernes.
Un diplôme qui est pourtant le couronnement de longues études mais » il ne vaut rien, il ne peut pas me garantir un emploi » regrette-t-il. Certains ont plus de 10 ans à la recherche d’emploi sans en trouver.
»Pas de financement pour créer des entreprises, les banques ne prêtent qu’aux fonctionnaires, à ceux qui ont des garanties. Les fils de pauvres dans ce cas sont dans le désarroi, le désespoir », renchérit Berodjingar.
»Au Tchad l’accès à l’emploi dans le secteur privé n’est pas chose facile faute d’industrialisation du pays » dit-il, joint par bbc afrique.
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Un diplôme qui est pourtant le couronnement de longues études mais » il ne vaut rien, il ne peut pas me garantir un emploi » regrette-t-il. Certains ont plus de 10 ans à la recherche d’emploi sans en trouver.
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