"A l’heure où l’on parle de 500, 600 voire 1000 nouvelles chaînes numériques, il faut que les Africains puissent faire circuler le meilleur de leurs produits au sein du continent», a expliqué Sylla dans une interview à APA. Soutenant que ‘’le monde est un boulevard d’opportunités extraordinaires», il affirme que l’Afrique a ‘’beaucoup de choses à apporter à l’humanité, avec le passage à la télévision numérique».
La création de "Label TV et Radio" procède de la volonté de montrer un continent qui est dans une dynamique en émergence, explique-t-il, relevant pour le regretter la ‘’conception encore anecdotique pour ne pas dire exotique», qu’ont la plupart des pays surtout ceux asiatiques à l’égard de l’Afrique. ‘’Je pense que nous pouvons nous positionner effectivement et aller à l’assaut du monde et proposer des produits audiovisuels qui intéressent l’ensemble de l’humanité», soutient-il.
Il cite à cet effet, Nollywood, du nom de l’industrie cinématographique du Nigeria, qui a réussi à se positionner avec la production de 2000 films par an et près de 60.000 intervenants dans le secteur. Nollywood est autofinancé sans intervention aucune d’une banque. ‘’Il faut poser les vrais débats, les vrais enjeux, il faut que nous soyons les reflets des préoccupations de notre auditoire», soutient Sylla.
Le promoteur de "Label TV et Radio" qui entend dupliquer ce projet partout sur le continent note toutefois que cette ambition suppose des investissements dans la technologie mais aussi une formation qualifiante des professionnels des médias. Parlant du projet proprement dit, Mactar Sylla indique qu’il est certes panafricain, mais à une vocation internationale.
‘’Il est panafricain dans le sens où c’est du contenu africain et international parce que nous voulons aller à la conquête de tous les auditoires», note-t-il. Selon lui, "Label TV et Radio" a une option intégrée, transversale, fédératrice.
‘’La preuve, explique-t-il, lorsque nous avons lancé notre appel à concurrence plus de 3000 candidatures ont été reçues, dont 1831 recevables de 31 pays». Il dit aussi souhaiter conclure le maximum de conventions possibles avec un grand nombre de chaînes de télévisions et de radios publiques ou privées qui permettront d’avoir le ‘’meilleur de l’Afrique».
La création de "Label TV et Radio" procède de la volonté de montrer un continent qui est dans une dynamique en émergence, explique-t-il, relevant pour le regretter la ‘’conception encore anecdotique pour ne pas dire exotique», qu’ont la plupart des pays surtout ceux asiatiques à l’égard de l’Afrique. ‘’Je pense que nous pouvons nous positionner effectivement et aller à l’assaut du monde et proposer des produits audiovisuels qui intéressent l’ensemble de l’humanité», soutient-il.
Il cite à cet effet, Nollywood, du nom de l’industrie cinématographique du Nigeria, qui a réussi à se positionner avec la production de 2000 films par an et près de 60.000 intervenants dans le secteur. Nollywood est autofinancé sans intervention aucune d’une banque. ‘’Il faut poser les vrais débats, les vrais enjeux, il faut que nous soyons les reflets des préoccupations de notre auditoire», soutient Sylla.
Le promoteur de "Label TV et Radio" qui entend dupliquer ce projet partout sur le continent note toutefois que cette ambition suppose des investissements dans la technologie mais aussi une formation qualifiante des professionnels des médias. Parlant du projet proprement dit, Mactar Sylla indique qu’il est certes panafricain, mais à une vocation internationale.
‘’Il est panafricain dans le sens où c’est du contenu africain et international parce que nous voulons aller à la conquête de tous les auditoires», note-t-il. Selon lui, "Label TV et Radio" a une option intégrée, transversale, fédératrice.
‘’La preuve, explique-t-il, lorsque nous avons lancé notre appel à concurrence plus de 3000 candidatures ont été reçues, dont 1831 recevables de 31 pays». Il dit aussi souhaiter conclure le maximum de conventions possibles avec un grand nombre de chaînes de télévisions et de radios publiques ou privées qui permettront d’avoir le ‘’meilleur de l’Afrique».