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Cette trêve est censée permettre l'évacuation de civils par des couloirs humanitaires afin de quitter les quartiers rebelles assiégés depuis que l'armée syrienne, soutenue par l'aviation russe, avait lancé une grande offensive visant à reprendre les quartiers contrôlés, dans l'est d'Alep, par les insurgés le 22 septembre.
Mais bon nombre de spécialistes pensent que cette trêve sera comme la précédente datant du 22 octobre et qui n'avait permis aucune évacuation de civils, de blessés ou de combattants armés.
"Les évacuations médicales peuvent seulement avoir lieu si les parties en conflit prennent toutes les mesures pour assurer un environnement approprié, ce qui n'a pas été fait (...) Nous restons très, très inquiets de la situation humanitaire à Alep" a déclaré ce vendredi 4 David Swanson, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU.
Le chef de l'état-major russe Valéri Guerassimov a déclaré mercredi en annonçant la trêve que: "vu que nos collègues américains sont incapables de séparer les groupes d'opposition des terroristes, nous nous adressons directement aux leaders de tous les groupes armés et les appelons à mettre fin aux combats et à quitter Alep avec leurs armes". L'homme politique russe à également affirmé que: "tous les couloirs humanitaires mis en place auparavant continueront de fonctionner pour la sortie de civils et de combattants".
Mais les huit couloirs humanitaires qui ont été instaurés pour permettre ces évacuations sont restés entièrement inutilisés encore une fois ce vendredi.
Cette nouvelle trêve est mise en place alors que les rebelles ont lancé le 28 octobre une attaque contre le siège que Bachar al-Assad impose dans les quartiers est d'Alep. Dans cette zone il y a au moins 250.000 personnes qui sont privées d'aide humanitaire et sont menacées de pénurie alimentaire.
Mais bon nombre de spécialistes pensent que cette trêve sera comme la précédente datant du 22 octobre et qui n'avait permis aucune évacuation de civils, de blessés ou de combattants armés.
"Les évacuations médicales peuvent seulement avoir lieu si les parties en conflit prennent toutes les mesures pour assurer un environnement approprié, ce qui n'a pas été fait (...) Nous restons très, très inquiets de la situation humanitaire à Alep" a déclaré ce vendredi 4 David Swanson, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU.
Le chef de l'état-major russe Valéri Guerassimov a déclaré mercredi en annonçant la trêve que: "vu que nos collègues américains sont incapables de séparer les groupes d'opposition des terroristes, nous nous adressons directement aux leaders de tous les groupes armés et les appelons à mettre fin aux combats et à quitter Alep avec leurs armes". L'homme politique russe à également affirmé que: "tous les couloirs humanitaires mis en place auparavant continueront de fonctionner pour la sortie de civils et de combattants".
Mais les huit couloirs humanitaires qui ont été instaurés pour permettre ces évacuations sont restés entièrement inutilisés encore une fois ce vendredi.
Cette nouvelle trêve est mise en place alors que les rebelles ont lancé le 28 octobre une attaque contre le siège que Bachar al-Assad impose dans les quartiers est d'Alep. Dans cette zone il y a au moins 250.000 personnes qui sont privées d'aide humanitaire et sont menacées de pénurie alimentaire.