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Le communiqué du Rectorat commence par regretter que les funérailles du Pr Oumar Sankharé aient "malheureusement donné lieu à quelques propos malveillants et outrageants accusant l'administration de l'Université de lui avoir avoir refusé un contrat, de l'avoir sommé, par exploit de huissier, de libérer son logement; bref de l'avoir harcelé par des dénis de Droit". D'après l'Obs, l'autorité de l'Université reconnaît certes que " des sommations d'huissier ont été effectivement servies après maints rappels et sommations administratives à tous les occupants irréguliers des logements administratifs: à tous sans exception ni parti pris, y compris notre collègue Sankharé". Mais l'on tient à lever les équivoques.
Concernant la demande de contrat, le Rectorat révèle que Pr Sankharé avait bien introduit une demande de contrat, " après avoir pris connaissance des opportunités qui lui étaient ainsi offertes par dérogation de continuer à servir l'Institution. Il lui a été demandé de la reprendre, en respectant la voie hiérarchique et qu'une suite favorable lui serait réservée. Son syndicat et les autorités de sa Faculté en avaient été informés. Aussi avait-il réintroduit son dossier avec avis favorable de son département et des autorités de sa Faculté."
Enfin, le communiqué ajoute comme pour replacer le débat dans son contexte qu'en ce qui " concerne la procédure contentieuse enclenchée par l'acte d'assignation servi par huissier, Pr Sankharé avait reçu l'accord du Recteur pour fixer lui-même la date à laquelle il pourrait libérer le logement. Reçu à sa demande par la commission Ad Hoc du Rectorat, le Pr Sankharé a sollicité un sursis de quelques mois, le délai nécessaire pour restaurer sa propriété privée".
Concernant la demande de contrat, le Rectorat révèle que Pr Sankharé avait bien introduit une demande de contrat, " après avoir pris connaissance des opportunités qui lui étaient ainsi offertes par dérogation de continuer à servir l'Institution. Il lui a été demandé de la reprendre, en respectant la voie hiérarchique et qu'une suite favorable lui serait réservée. Son syndicat et les autorités de sa Faculté en avaient été informés. Aussi avait-il réintroduit son dossier avec avis favorable de son département et des autorités de sa Faculté."
Enfin, le communiqué ajoute comme pour replacer le débat dans son contexte qu'en ce qui " concerne la procédure contentieuse enclenchée par l'acte d'assignation servi par huissier, Pr Sankharé avait reçu l'accord du Recteur pour fixer lui-même la date à laquelle il pourrait libérer le logement. Reçu à sa demande par la commission Ad Hoc du Rectorat, le Pr Sankharé a sollicité un sursis de quelques mois, le délai nécessaire pour restaurer sa propriété privée".