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L’affaire fait grand bruit. Deux Chinois et leur interprète sénégalais ont été arrêtés pour avoir malmené un employé. Dans les vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux, un des Chinois avait le pied posé sur le cou de Ibrahima Fall, s’émeut L’Observateur.
Le journal révèle que tout est parti du refus de l’employé de signer le bulletin de salaire surtout quand ce dernier s’est aperçu « que l’argent a été défalqué » par son patron chinois.
Ibrahima Fall campe sur sa position. « Je travaille comme chauffeur de camion dans l’entreprise Diyan, explique-t-il, repris par le journal. Ce sont les cassures du pare-brise du véhicule qui sont à l’origine du problème. J’ai subi une mise à pied de deux jours alors que c’est un autre chauffeur qui en est l’auteur. »
L’employé d’ajouter : « Quand j’ai contesté cela, mon patron a décidé de prolonger la mise à pied jusqu’à sept jours. Parce qu’il dit que je ne dois pas répondre quand il me parle. »
Loin d’abdiquer, le camionneur souligne « qu’il a demandé à son employeur une lettre de justification afin qu’il puisse régler cela au niveau de l’Inspection du Travail ». Ce que le concerné à refuser. C’est ainsi, poursuit-il, « qu’il est allé à l’Inspection du Travail pour exposer les faits ». Et, selon lui, celle-ci a tranché en sa faveur, l’enjoignant de « reprendre son poste ». L’employé s’est exécuté.
Selon des témoins, repris par L’Observateur, Ibrahima Fall a voulu encaisser les 130 000 F CFA sans signer le document justifiant le paiement du salaire. Ce que les Chinois n’ont pas vu d’un bon œil. Aidés par leur interprète sénégalais, ils ont tenté de confisquer l’argent.
Le journal révèle que tout est parti du refus de l’employé de signer le bulletin de salaire surtout quand ce dernier s’est aperçu « que l’argent a été défalqué » par son patron chinois.
Ibrahima Fall campe sur sa position. « Je travaille comme chauffeur de camion dans l’entreprise Diyan, explique-t-il, repris par le journal. Ce sont les cassures du pare-brise du véhicule qui sont à l’origine du problème. J’ai subi une mise à pied de deux jours alors que c’est un autre chauffeur qui en est l’auteur. »
L’employé d’ajouter : « Quand j’ai contesté cela, mon patron a décidé de prolonger la mise à pied jusqu’à sept jours. Parce qu’il dit que je ne dois pas répondre quand il me parle. »
Loin d’abdiquer, le camionneur souligne « qu’il a demandé à son employeur une lettre de justification afin qu’il puisse régler cela au niveau de l’Inspection du Travail ». Ce que le concerné à refuser. C’est ainsi, poursuit-il, « qu’il est allé à l’Inspection du Travail pour exposer les faits ». Et, selon lui, celle-ci a tranché en sa faveur, l’enjoignant de « reprendre son poste ». L’employé s’est exécuté.
Selon des témoins, repris par L’Observateur, Ibrahima Fall a voulu encaisser les 130 000 F CFA sans signer le document justifiant le paiement du salaire. Ce que les Chinois n’ont pas vu d’un bon œil. Aidés par leur interprète sénégalais, ils ont tenté de confisquer l’argent.