Autres articles
-
Maradona: « je suis avec Kalidou Koulibaly »
-
Génocide rwandais: La bravoure du capitaine Mbaye Diagne
-
Histoire-Recherche: Des industries d'or de 3.000 ans découvertes dans la vallée de la Falémé (Archéologue)
-
Thierno Seydou Nourou Tall, médiateur et acteur remarquable de l’histoire
-
Serie A : la Juventus tombe face à la Fiorentina
La révélation est de taille et porte les empreintes de Khalifa Sall. Accusé d’avoir dilapidé 3 milliards F Cfa de la Caisse d’avance de la ville de Dakar, le premier magistrat de la capitale envoie les enquêteurs balader. Non sans apporter cette précision qui va refroidir les ardeurs de (ses) contempteurs qui espéraient le voir au gnouf, à quelques mois des élections législatives.
«Depuis 1920, aucun maire de Dakar n’a donné ni justifié les noms des bénéficiaires de ces fonds. Et il n’y a pas d’archives qui prouvent la gestion de cette Caisse d’avance. Les maires gèrent ces fonds au service des populations et partent avec leurs archives», a-t-il fait comprendre.
Estimant que ce ne sont pas les convocations à répétition, qui vont lui faire changer d’avis et adopter une nouvelle posture, Khalifa Sall de marteler : «je ne serai pas le premier maire à déflorer les noms des institutions qui ont des personnes morales et physiques ayant bénéficié de ces crédits. Jamais, je ne le ferai», a-t-il coupé court, arguant respecter une tradition vieille de plusieurs décennies.
«Cette affaire n’est qu’un épiphénomène et que sur toute la ligne, nous avons été bien», a conclu le maire socialiste devant ses sympathisants.
Actusen
«Depuis 1920, aucun maire de Dakar n’a donné ni justifié les noms des bénéficiaires de ces fonds. Et il n’y a pas d’archives qui prouvent la gestion de cette Caisse d’avance. Les maires gèrent ces fonds au service des populations et partent avec leurs archives», a-t-il fait comprendre.
Estimant que ce ne sont pas les convocations à répétition, qui vont lui faire changer d’avis et adopter une nouvelle posture, Khalifa Sall de marteler : «je ne serai pas le premier maire à déflorer les noms des institutions qui ont des personnes morales et physiques ayant bénéficié de ces crédits. Jamais, je ne le ferai», a-t-il coupé court, arguant respecter une tradition vieille de plusieurs décennies.
«Cette affaire n’est qu’un épiphénomène et que sur toute la ligne, nous avons été bien», a conclu le maire socialiste devant ses sympathisants.
Actusen