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Cheikh Yerim Seck en est groggy. Auteur d’un article incendiaire sur le Président du Cng dans son site d’informations, Dakaractu, à propos d’une gestion nébuleuse de la lutte sénégalaise, le journaliste s’est attiré les foudres du patron de la lutte sénégalaise. Ce dernier est sorti de ses gonds à la suite de ce papier hostile, qui enfonce davantage le Cng de lutte jusque là dans le viseur des lutteurs en activité, avec à leur tête, Boy Kairé qui en est le president.
« Nous constatons, depuis quelques temps, un lynchage médiatique de tout bord » fulmine Alioune Sarr, qui regrette les légèretés dans le texte de Cheikh Yerim Seck.
« L’article en question est truffé de fausses informations du début à la fin. Il faut être un ignorant pour dire que nous percevons 150 millions de la Fila (Fédération Internationale de Lutte. Le journaliste en question, dit que nous avons reçu 15 Millions de la part de l’Etat du Sénégal pour l’organisation du drapeau du chef de l’Etat du Sénégal alors qu’on en a reçu 7. On nous accuse également de percevoir de l’argent pour le financement de l’organisation du tournoi de la Cedeao, alors que c’est le Cng qui dégage, à lui seul, le budget pour mettre sur pied cette compétition. Jusqu’à ce jour, l’Etat ne nous a remis un franc pour l’organisation du tournoi de la Cedeao »
Suffisant, selon le patron du Cng, pour mettre à nu « la mauvaise foi » de l’ancien journaliste de Jeune Afrique qui lui aurait avoué hier matin, avoir été induit en erreur par certaines sources qui ne sont autres que des acteurs de la lutte Sénégalaise. « Le Cng est broyé sans raisons par des hommes tapis dans l’ombre qui n’ont pas de courage pour venir nous faire face. Un journaliste d’une telle dimension qui se met à tomber si bas pour écrire des faussetés, j’en suis étonné », fusille Sarr qui par ailleurs, demande pardon au nom de tous ses collaborateurs auprès de leurs familles pour atteinte à leur honorabilité.
Car, selon Alioune Sarr, leur statut ne leur permet pas de se sucrer sur le dos des lutteurs pour s’enrichir. « Ceux qui soutiennent, que les membres du Cng profitent de la lutte pour se faire de l’argent ont tout faux. Nous sommes tous des responsables, et exerçons des fonctions sous les plus hautes responsabilités. L’argents ne nous intéresse pas », gronde Alioune Sarr.
« Nous constatons, depuis quelques temps, un lynchage médiatique de tout bord » fulmine Alioune Sarr, qui regrette les légèretés dans le texte de Cheikh Yerim Seck.
« L’article en question est truffé de fausses informations du début à la fin. Il faut être un ignorant pour dire que nous percevons 150 millions de la Fila (Fédération Internationale de Lutte. Le journaliste en question, dit que nous avons reçu 15 Millions de la part de l’Etat du Sénégal pour l’organisation du drapeau du chef de l’Etat du Sénégal alors qu’on en a reçu 7. On nous accuse également de percevoir de l’argent pour le financement de l’organisation du tournoi de la Cedeao, alors que c’est le Cng qui dégage, à lui seul, le budget pour mettre sur pied cette compétition. Jusqu’à ce jour, l’Etat ne nous a remis un franc pour l’organisation du tournoi de la Cedeao »
Suffisant, selon le patron du Cng, pour mettre à nu « la mauvaise foi » de l’ancien journaliste de Jeune Afrique qui lui aurait avoué hier matin, avoir été induit en erreur par certaines sources qui ne sont autres que des acteurs de la lutte Sénégalaise. « Le Cng est broyé sans raisons par des hommes tapis dans l’ombre qui n’ont pas de courage pour venir nous faire face. Un journaliste d’une telle dimension qui se met à tomber si bas pour écrire des faussetés, j’en suis étonné », fusille Sarr qui par ailleurs, demande pardon au nom de tous ses collaborateurs auprès de leurs familles pour atteinte à leur honorabilité.
Car, selon Alioune Sarr, leur statut ne leur permet pas de se sucrer sur le dos des lutteurs pour s’enrichir. « Ceux qui soutiennent, que les membres du Cng profitent de la lutte pour se faire de l’argent ont tout faux. Nous sommes tous des responsables, et exerçons des fonctions sous les plus hautes responsabilités. L’argents ne nous intéresse pas », gronde Alioune Sarr.